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vous pouvez m'aidez pck j'y comprend rien a ce devoir moi est l'argumentation sa fé 0

 

Les habitants de Paris sont d'une curiosité qui va jusqu'à l'extravagance. Lorsque j'arrivai, je fus regardé comme si j'avais été envoyé du ciel: vieillards, hommes, femmes, enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais, tout le monde se mettait aux fenêtres; si j'étais aux Tuileries, je voyais aussitôt un cercle se former autour de moi; les femmes mêmes faisaient un arc-en-ciel nuancé de mille couleurs, qui m'entourait. Si j'étais aux spectacles, je voyais aussitôt cent lorgnettes dressées contre ma figure: enfin jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient presque jamais sortis de leur chambre, qui disaient entre eux: Il faut avouer qu'il a l'air bien persan. Chose admirable! Je trouvais de mes portraits partout; je me voyais multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m'avoir pas assez vu. Tant d'honneurs ne laissent pas d'être à la charge: je ne me croyais pas un homme si curieux et si rare; et quoique j'aie très bonne opinion de moi, je ne me serais jamais imaginé que je dusse troubler le repos d'une grande ville où je n'étais point connu. Cela me fit résoudre à quitter l'habit persan, et à en endosser un à l'européenne, pour voir s'il resterait encore dans ma physionomie quelque chose d'admirable. Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avait fait perdre en un instant l'attention et l'estime publique; car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé, et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche; mais, si quelqu'un par hasard apprenait à la compagnie que j'étais Persan, j'entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement: " Ah! ah! monsieur est Persan? C'est une chose bien extraordinaire! Comment peut-on être Persan ? " A Paris, le 6 de la lune de Chalval, 1712

 

I/ QUESTION

 

1. Dans les ligne 3 à 11 , relevez trois figures de style mettent en valeur le catactère excessif de l'attitude des Parisiens et nommez-les

 

2. Quel GN traduit la réaction du Persan face à l'attitude des Parisiens ? Quelle est la figure employée ? quel est le ton adopté ?

 

3. Quelle relation logiques y a t-il entre le comportement des Parisiens et sa décision ? Explicitez-la dans une phrases complexe .

 

4a. Commentez les commentaives des Parisiens et sa décision ?

  b. Quel est leur rôle ?

 

5. Commentez-la dérnière réplique : quel est la visée de ce texte ?

Sagot :

bon , j'ai retravaillé dessus pour la première question, je t'avais déjà donné les figures de styles elles sont en gras, le problème est les nommer, là j'ai du mal à dire à quoi elles correspondent (métaphores, comparaison.....)

 

Mais je dirais que l'arc en ciel est une métaphore

 

multiplié dans toutes les boutiques: peut-être la figure de style appellée:L’hyperbole

 

 CAR UNE HYPERbole  est une figure d'amplification qui désigne l’ensemble des procédés d’exagération, et là je pense qu'il exagère un peu

 

 

cent lorgnettes dressées: je pense à une métonymie car:

 

La métonymie est une figure de style qui consiste à désigner un objet ou une idée par un autre terme que celui qui convient (par glissement de sens). Donc là il remplace les mots yeux par les lorgnettes, mais on comprend que ce sont les yeux qui regardent pas des lunettes.

 

attention je ne suis pas prof de français je peux faire des erreurs.

1-     

  

Si je sortais, tout le monde se mettait aux fenêtres; si j'étais aux Tuileries, je voyais aussitôt un cercle se former autour de moi; les femmes mêmes faisaient un arc-en-ciel nuancé de mille couleurs, qui m'entourait. Si j'étais aux spectacles, je voyais aussitôt cent lorgnettes dressées contre ma figure: enfin jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient presque jamais sortis de leur chambre, qui disaient entre eux: Il faut avouer qu'il a l'air bien persan. Chose admirable! Je trouvais de mes portraits partout; je me voyais multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m'avoir pas assez vu.

 

.

 

2- je ne sais tjs pas e quel GN il veut parler ;car il y en a plein et j’ai peur e me planter

3- sa réaction est logique, au début il  est très fier d’être observé  puis il en a assez d’être regardé comme une bête curieuse une bête de foire  .

Il ne va pas au spectacle , il est le spectacle. De plus il Il s’étonne ,il souhaite aussi savoir s’il est  le point de mire pour lui-même , pour son intelligence son style ou pour le fait qu’il SOIT  un étranger.

4-:

Commentaires des parisiens :

«  Il faut avouer qu'il a l'air bien persan »

Le commentaire est :qu’il a l’air  bien persan : alors il retire son habit aura-t-il l’air aussi Persan sans son habit ?

Aussi intéressant, garce à ces commentaires il va prendre conscience de sa place d’étranger dans cette ville,

Et donc agir pour savoir comment il doit vivre en Persan reconnu ou  en parfait inconnu

 

5- commentaire de la dernière phrase

" Ah! ah! monsieur est Persan? C'est une chose bien extraordinaire! Comment peut-on être Persan ? "                

 

Je crois que les Parisiens sont tellement fiers de leurs personnes qu’ils ne peuvent pas penser que des

personnes autre qu’eux puissent habiter leurs quartiers aller au théâtre comme eux et vivre près d’eux.

Cela leur parait incroyable.

 

JE PENSE QUE DANS LEUR PHRASE ILS VEULENT DIRE :

Comment, peut-on être Persan, et vivre à Paris ?

 

La visée du texte c'est une critique de Montesquieu ;)