Réponse :
bonjour
Explications :
voici des éléments pour t'aider dans ton travail
1. la scène se passe un soir de mai, à deux heures du matin, à quelques pas d’un bar tabac.
2. le personnage principal :
- il est administrateur d’une petite fabrique de papier et s’appelle Robert Saggini
- il a quarante-six ans
- il a les cheveux gris,
- il est bel homme
3. Que se passe-t-il dans cette scène ?
Le personnage principal devient la cible d’un groupe de jeunes qui ne supporte pas les personnes d’un certain âge. Ces groupes sèment la terreur dans les quartiers la nuit
4. Particularité de la jeunesse dans la société décrite :
- elle est violente « le lynchage », ce sont des « canailles », « un mépris », « sombre ressentiment », « haine » »se déchainaient », « pourchassaient », »bourraient de coups de pieds » « arrachaient ses vêtements, le fouettaient, le peinturluraient ».
5. synonyme de « ressentiment » : rancune
6. Les responsables de cette situation :
- il s’agit d’un « éternel tourment » qui explosait finalement ». La société à travers différents médias, adulait, flattait, plaignait cette jeunesse et les encourageaient à s’imposer face au monde.
- - la vieillesse : Leur slogan : « l’âge est un crime », à 40 ans on est vieux
- les personnes de 60 ans qui essaient de les comprendre et prennent parti pour eux, partagent les souffrances et les aspirations de ces jeunes, ils sont compatissants
- création de clubs, d’associations, de sectes, dominés par la haine sauvage envers les vieilles générations
7. liens :
- ici sur cette impression trois générations sont représentées : la petite fille, son père et son grand-père. Cela nous montre une interaction intergénérationnelle, il ne faut pas craindre de vieillir, vieillir c’est bien, cela peut être beau, on apprend des anciens et il ne faut pas croire que finalement la jeunesse détient tout le pouvoir. Il faut que jeunesse se fasse, certes, mais dans le respect, l’apprentissage et l’amour des siens et des autres. Alors que dans le texte, on nous montre tout le contraire, il n’y a que haine, violence, mépris.
