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Sagot :
je peut répondre à votre question mais aider vraiment s'il vous plaît
quand j'ai bu un chocolat chaud de Noël je me suis rappelé la joie d'ouvrir des cadeaux de ne pas savoir se qu'il y a dans les paquer mais de sentir les petit gâteau qui sentent tellement bon
Noël est une fête que je fête en famille mais avec je covid sa me manque peut-être cette année j'espère
Réponse :
Bonjour.
Ce matin, en me promenant dans la rue, j'ai vu un petit chien, visiblement perdu, en train de me regarder d'un air triste. Mon regard a croisé le sien et subitement je me suis souvenu. Lorseque j'étais encore une toute petite fille , un jour mes parents m'ont emmenés à l'animalerie. . Bien que j'imaginais cette visite comme amusante, ce n'était pas le cas. en vérité une effroyable totrure m'attendais derrière la porte. Où que je tourne la tête, une pauvre créature ésperait tristement qu'un gentil maître accepte le coeur que chaque animal était pret à offrir. Cet endroit me faisait sentir coupable de ne pouvoir aider tous ces animaux à la fois. Par moment, si je m'approchais trop d'une cage, un perruche, un perroquet ou autre oiseau exotique, me mordillait le bras afin que je le remarque et l'apprivoise. Tandis que mes parents flanais prêt du coin des chats, moi , je restais avec les chiens. Leurs regards, mon Dieu, leurs regards donnaient envie de pleurer. On eu dit qu'ils n'avaient jamais connus la joie d'une famille aimante ( et c'était d'ailleurs le cas ). L'un d'entre eux tout particulièrement me toucha. Il ne paraîssait pas des plus beau, sa tête parraîssait deux fois trop petite pour son corps et ses pattes, immenses, grattaient derrière la vitre. Je me suis accroupis deant lui,et doucement lui ai parlé. Je savais bien qu'il ne me comprenait pas, et que, probablement je le laisserais plus triste encore après mon depart, mais c'était plus fort que moi. Sa petite queue remua quand je m'approchas de lui. Je lui ai dit : Pauvre petit trésor. J'aimerais tellement pouvoir t'aider mais mes parents ne voudraient jamais d'un chien. Mon père est allergique au poils de chiens, comprends-tu? Mais soit sur que, bien que je ne puisse t'emmener, je me souviendrais de toi pour toujours. Puis mes parents m'ont appelés. Ils avaient pris un petits chat et me l'on tendu: Tiens ma chérie, joyeux anniversaire ! J'ai ris le petit chat dans mes bras. Ils tremblottait de peur. Je l'ai immediatement aimé, mais dès que nous fûmes sortis, je compris qu'un petit morceau de mon coeur était résté avec cette tête trop petite et ces grande pattes.
A présent ma vie à changer.L'allergie de mon père à disparue du jour au lendemain et je regrettait encore ce petit chien. Mais dans les yeux de celui que je venais de trouver, je revoyais celui que j'avais autrefois aimé. Sur son collier il y avait un mot : Je ne peux plus garder monc chien. Je n'ai plus assez 'argent pour m'occuper de lui convenablement. Merci infinniement à celui ou celle qui le recueillera et lui apportera tout l'amour qu'il mérite.
PS Il a 1 an et demi et s'appelle Roxy.
Mon coeur fit un bond dans ma poitrine. Je regrettais tellement le chien de la ménagerie que je ne voulu pas reffaire la même erreur. Je me baissais donc devant Roxy, lui parla doucement, puis en accrochant une ficelle à son collier, je rentrais chez moi. Le bruit des ses petites pattes me suivant.
Explications :
J'éspère que cette histoire te plaira. Cordialement.
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