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Bonjour, excusez moi de vous déranger. Pourriez-vous m'aider à répondre à ces questions ? S'il vous plaît ? Ceci est à rendre avant 9h le le mardi 1 juin. Merci d'avance

Quel est le point commun entre les familles de Soisik et de la narratrice ?

1.Quelle est la « frontière invisible » qui sépare les familles de Soisik et de la narratrice ? Développez votre
réponse en citant le texte.

2. « ainsi Bach fait-il une entrée fracassante dans nos trente mètres carrés ». Expliquez cette phrase.

3.Montrez l’appétit de culture de la narratrice. Appuyez votre réponse sur des citations du texte.​

Bonjour Excusez Moi De Vous Déranger Pourriezvous Maider À Répondre À Ces Questions Sil Vous Plaît Ceci Est À Rendre Avant 9h Le Le Mardi 1 Juin Merci Davance Q class=

Sagot :

Réponse :

bonjour

Explications :

voici quelques éléments pour t'aider dans ton devoir

1.Quelle est la « frontière invisible » qui sépare les familles de Soisik et de la narratrice ? Développez votre réponse en citant le texte.

Cette « frontière invisible «  est la culture, la soif d’apprendre, la non résignation de la misère malgré leur milieu social ( « issus des mêmes milieux déshérités » « consentement au malheur, à l’ignorance, à l’incuriosité »)

2. « ainsi Bach fait-il une entrée fracassante dans nos trente mètres carrés ». Expliquez cette phrase.

Grâce aux « quelques billets » mis de côté chaque mois, les parents de la narratrice pouvaient se permettre des accès à la culture et louer une flûte traversière pour une de leur fille qui jouait des morceaux de musique ( du Bach en l’occurrence ici ) qui égayaient les « trente mètres carrés » de leur domicile. Une joie qui n’avait pas de prix, cela leur permettait de s’évader un peu et d’une certaine façon, d’avoir accès à la culture.

3.Montrez l’appétit de culture de la narratrice. Appuyez votre réponse sur des citations du texte.

- les parents offraient des magazines

- des cartes de bibliothèques pour avoir accès aux livres

- la chorale catho

- le cinéma éducateur à « deux balles » organisée par les communistes

La culture représentait « un festin », « quotidien » et elle était « insatiable », la narratrice ne s’en laissait pas au contraire, elle avait soif de culture. Tout était bon pour apprendre.