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Sagot :
Bonjour,
Je te propose une histoire dans ce genre :
Ils n’étaient plus que trois survivants. Ils restaient serrés, collés les uns aux autres dans l’obscurité. Leur peuple avait été décimé par des monstres, qui, régulièrement, les exposaient à la lumière. Alors il n’y avait plus aucun moyen de se cacher, encore moins de s’échapper. Les monstres sadiques les attrapaient, broyaient leurs pauvres corps en les brisant en deux, voire en morceaux, quand ils ne les réduisaient pas carrément en miettes.
C’était infernal : les autres étaient paralysés par la terreur, et ne pouvaient absolument rien faire pour protéger leurs camarades du supplice. Ils étaient forcés d’y assister, pire ils recevaient parfois sur la tête les morceaux démembrés de leurs camarades assassinés. Parfois, ils les entendaient même hurler atrocement lorsque les monstres cruels les barbouillaient d’une graisse jaune, avant de les dissoudre avec entrain dans un cratère fumant. Contenant de la lave, sans doute.
Enfin les cris s’estompaient et l’obscurité revenait, et alors c’était l’heure du décompte macabre des victimes. Encore et toujours, jusqu’à la prochaine attaque des monstres.
Les trois derniers survivants savaient que, s’il avaient eu de la chance jusque-là, à présent c’en était fini : leur tour était venu. Serrés les uns contre les autres comme pour conjurer la fatalité, ils se dirent adieu avec beaucoup d’émotion - au moment même où la boîte s’ouvrait et où l’un des monstres abominables les empoignait.
Une voix indignée retentit :
- Quoi ? Tu finis les trois derniers petits pains grillés pour ton petit-dèj ? T’es gonflé, et moi alors ? Avec quoi je vais boire mon café, maintenant ? T’as intérêt à racheter un paquet avant ce soir !
Je te propose une histoire dans ce genre :
Ils n’étaient plus que trois survivants. Ils restaient serrés, collés les uns aux autres dans l’obscurité. Leur peuple avait été décimé par des monstres, qui, régulièrement, les exposaient à la lumière. Alors il n’y avait plus aucun moyen de se cacher, encore moins de s’échapper. Les monstres sadiques les attrapaient, broyaient leurs pauvres corps en les brisant en deux, voire en morceaux, quand ils ne les réduisaient pas carrément en miettes.
C’était infernal : les autres étaient paralysés par la terreur, et ne pouvaient absolument rien faire pour protéger leurs camarades du supplice. Ils étaient forcés d’y assister, pire ils recevaient parfois sur la tête les morceaux démembrés de leurs camarades assassinés. Parfois, ils les entendaient même hurler atrocement lorsque les monstres cruels les barbouillaient d’une graisse jaune, avant de les dissoudre avec entrain dans un cratère fumant. Contenant de la lave, sans doute.
Enfin les cris s’estompaient et l’obscurité revenait, et alors c’était l’heure du décompte macabre des victimes. Encore et toujours, jusqu’à la prochaine attaque des monstres.
Les trois derniers survivants savaient que, s’il avaient eu de la chance jusque-là, à présent c’en était fini : leur tour était venu. Serrés les uns contre les autres comme pour conjurer la fatalité, ils se dirent adieu avec beaucoup d’émotion - au moment même où la boîte s’ouvrait et où l’un des monstres abominables les empoignait.
Une voix indignée retentit :
- Quoi ? Tu finis les trois derniers petits pains grillés pour ton petit-dèj ? T’es gonflé, et moi alors ? Avec quoi je vais boire mon café, maintenant ? T’as intérêt à racheter un paquet avant ce soir !
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