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J’ai vraiment besoin d’aide pour faire une rédaction en histoire !

Le sujet est la 1ère guerre mondiale

(La violence des combats,les conditions de vie,les loisirs et l’état psychologique)

Jai Vraiment Besoin Daide Pour Faire Une Rédaction En Histoire Le Sujet Est La 1ère Guerre Mondiale La Violence Des Combatsles Conditions De Vieles Loisirs Et L class=

Sagot :

Réponse :

voilà sque tu peux prendre pour exemple après ce n'est pas parfait désolé

Explications :

Introduction: Durant la Grande guerre, les poilus ( soldats français dans les tranchées ) vivaient dans des conditions déplorables. Au delà de l'horreur des combats, ces soldats qui voyaient mourir leurs amis vivaient dans le froid la boue le sang et parmi les cadavres et les blessés grave. Comment ces soldats ont-ils pu résister à l'horreur du front ? Nous explorerons leurs conditions de vie, ainsi que l'aspect psychologique de leur état.

I les conditions de vies

Ces 8.5 millions de soldats sur les fronts français ont vécu dans les conditions les plus terribles au monde à lépoque. En effet dans leur tranchées, faites de boue et du sang des morts ils connurent l'horreur d'une guerre de position. D'une part cette guerre encouragea l'utilisation des obus de l'artillerie rendant par la même complétement illusoire la faible protection offerte par ses remparts de terre. D'autre part ses soldats ne connaissait jamais le repos; entre les attaque d'artillerie et les assauts à mener le repos était un court instant durant lequel les soldats échangeait des cigarettes ou jouaient aux carte avant de retourner affronter la mort. Par ailleurs les assauts mené à la mitraillette la grenade et la baïonnette venait compléter le tableau affreux offert par les gueules cassées ( victime grave de tir d'artillerie et donc avec des difformités apparente ). Enfin avec la boue le froid et la mort environnante aux combats, les maladies proliféraient dans les tranchées et les nuisible tel les rats ou les poux faisaient des ravages.

II l'aspect psychologique

Les privations, la mauvaise hygiène, la peur de mourir ou d'être blessé pèsent sur le moral des poilus. Ils se confient parfois dans des carnets, où ils racontent l'horreur de leur quotidien : « J'entreprends de franchir les cinquante mètres de boyau qui me séparent de la première ligne. Justement voilà le téléphoniste qui répare les lignes : vous parlez d'un fourbi ! Rien ne veut tenir là-dedans. C'est de la boue et du cadavre. Oui, du cadavre. Les vieux morts des combats d'automne, qu'on avait enterrés sommairement dans le parapet, réapparaissent par morceaux…  ». Certains soldats deviennent fous. Les survivants seront marqués à vie par l'horreur des combats.  De plus les poilus trouvent du réconfort dans le soutien de leurs camarades, dans les lettres ou parfois les colis qu'ils reçoivent de l'arrière et dans les lettres qu'ils peuvent envoyer malgré la censure. L'armée fournit une ration de vin et de cigarettes. Les permissions sont rares et courtes, et les soldats qui retournent dans leur famille sont souvent désagréablement surpris : à l'arrière, on ne connaît rien de leur vie au front. Les poilus s'emportent contre les « embusqués », les « planqués » qui sont parvenus à éviter le combat par des intrigues. Enfin lorsqu'une bataille dure longtemps, les unités sont relevées pour éviter qu'une même troupe ne soit décimée au front. Les poilus attendent avec impatience cette relève qu'ils appellent le « tourniquet ». Ainsi, presque toutes les unités françaises ont combattu à tour de rôle lors de la bataille de Verdun, de février à juin 1916.

Conclusion À la fin du conflit, le bilan est lourd : 1 400 000 poilus ont été tués ou sont portés disparus. On compte 3,6 millions de blessés, dont 1 million d'invalides. Pour les survivants, la guerre constitue un choc sans précédent. Beaucoup d'entre eux se regroupent dans des associations d'anciens combattants, pour défendre leurs intérêts et préserver la paix. Parce qu'ils ont beaucoup souffert, ils veulent que cette guerre soit la « der des ders », la dernière…