Bonjour,
Périclès fait l'apologie du régime démocratique de la ville d'Athènes, il met en évidence les droits et les libertés accordés, l'ouverture vers les autres, l'esprit de justice, le respect des lois et l'ordre qui en découle...
Mais il prend soin de passer sous silence les limites de cette démocratie.
En effet ne peuvent voter que les hommes ( les femmes sont exclues de la vie politique ) qui possèdent le titre de citoyen, cela veut dire dont le père est lui-même citoyen et dont la mère est fille de citoyen.
Il évite de parler des autres exclus : les esclaves, les étrangers, les métèques ( Grecs venant d'autres cités ).
Finalement, en tenant compte de ces exclusions, les limites de la démocratie athénienne apparaissent clairement : en fait seuls 15 à 20 % des habitants de la ville possèdent le droit de voter.
J'espère avoir pu t'aider.
