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Bonjour j'aurais besoin pour un Sujet de réflexion qui est :
Quand on raconte son enfance, ne faut-il évoquer que les souvenirs agréables?
Vous proposerez une réflexion organisée et argumentée en vous appuyant sur vos
lectures, vos connaissances et votre expérience personnelle.

Merci pour votre aide à l'avance.

Sagot :

Bonjour,

Le fait de raconter ou d'évoquer ses souvenirs, peut nous faire réfléchir sur les actes que l'ont a fait. je pense qu'il évoquer les bons comme les mauvais souvenirs, car il font parti de notre vie et  nous aide à grandir, vous les garderez toujours en mémoire. Mais il ne faut pas oublier ses bons ou ses mauvais souvenirs, il sont la pour nous rappeler que tout n'est pas parfait, mais qu'il faut espérer.

Voila ! J’espère t'avoir aider !

Bonne journée !

Réponse :

L'autobiographie est un procédé de retour sur son passé notamment sur l'enfance. Les motifs sont nombreux d'écrire sur soi : mettre de l'ordre dans ses souvenirs, rechercher son identité et ses racines, faire une introspection ou parfois donner de soi une image avantageuse. De quoi parle-t-on quand on aborde l'enfance . Les bons ou les mauvais souvenirs ? S'agit-il d'une affaire de mémoire ou de sélection volontaire ou involontaire ? Que disent les souvenirs heureux ? Que disent les souvenirs douloureux ?

La mémoire remet à la surface les bons moments, les belles rencontres, l'amour dont on a été entouré, les succès, les vacances, les liens familiaux ou amicaux. Elle nous rappelle aussi des lieux que nous avons aimés et qui parfois, à l'âge adulte, sont idéalisés tout comme les jeux, les découvertes, les centres d'intérêt. Les souvenirs heureux nous ont nourris, nous ont aidés à grandir, nous construire, à nous connaître et à apprécier nos proches.

Cependant, il est des souvenirs douloureux qui ont marqué l'enfance, qui restent comme des cicatrices et ils sont là aussi quand on écrit sur soi. e sont les injustices, les punitions, les échecs, les humiliations, les gros chagrins, les séparations, les deuils. Ils font partie aussi de notre histoire. Inutile de les occulter, ils nous ont fortifiés, blessés. On pense à Jean Paul Sartre dans les Mots qui souffrait de son physique, du manque d'amis. On pense à jean jacques Rousseau qui avoue un gros mensonge pour se justifier.

L'enfance porte en elle les germes de l'adulte. Chacun est marqué par son milieu, sa famille, son histoire. Nous sommes tous plus ou moins des "cabossés " de la vie. Gardons le meilleur.

Explications :

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