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Bonjour, à tous, est ce que quelqu'un peut m'expliquer ce paragraphe avec des mots plus simples et phrases plus simples svp, je comprend rien, merci d'avance:
''Dans les affaires pénales, le Parquet se fait accusateur en se fondant sur ses propres convictions, elles-mêmes forgées par les enquêtes qu’il aura diligentées. Toutefois, le procureur prenant parti, ne sera jamais neutre, et bien souvent son parti pris orientera son accusation dans le sens de ses convictions. Mais le procureur et tout le parquet ne sont pas des juges et ne sont tenus ni à la stricte justice et encore moins à la parfaite neutralité. En outre, la jurisprudence s’avère alors être une aide précieuse imposant un format très rigide aux débats, sur la base de faits comparables déjà jugés. Les faits caractérisés sont exposés dans leur réalité. Un crime, par exemple, sera décrit de façon détaillée par un expert, sans laisser la moindre place pour une interprétation subjective de la part du juge. Dans toutes les hypothèses, les ressentis des victimes ou de leurs parties civiles n’influent en rien sur l’objectivité des faits. Il subsiste toutefois des zones d’ombre en particulier lorsqu’une affaire induit l’atteinte à la dignité humaine. Car dans ce cas-là, s’agissant d’un fait subjectif, le juge ne pourra pas juger autrement que de façon subjective, selon sa propre sensibilité ou ses propres acquis selon la théorie Freudienne.''

Sagot :

Réponse :

Dans les affaires pénales, le Bureau du Procureur porte des accusations en fonction de leurs convictions, qui sont fondées sur leurs enquêtes. Cependant, la position du procureur ne restera jamais neutre et ses préjugés dirigent souvent son accusation vers la condamnation. Cependant, le procureur et l’ensemble du parquet ne sont pas des juges, il n’existe pas de strictes contraintes judiciaires et ils ne sont pas totalement neutres. De plus, la jurisprudence s'est avérée être une aide inestimable, établissant une forme très stricte de débat,Sur la base de faits comparables déjà jugés. Les faits ont été révélés dans la réalité. Par exemple, le crime sera décrit en détail par des experts et le juge ne laissera aucune place à une interprétation subjective. Dans tous les cas, les sentiments de la victime ou de sa partie civile n’affectent pas l’objectivité des faits. Cependant, en particulier dans les cas de violation de la dignité humaine, il existe encore des zones d'ombre. Parce que dans ce cas, en tant que fait subjectif, le juge ne sera pas en mesure de porter des jugements subjectifs basés sur des jugements subjectifs ou des théories freudiennes basées sur ses propres connaissances

J'ai essaye de reformuler un maximum pour que tu comprenne mais certains mots.Je n'y arrivais pas sinon cherche les définitions des mots que tu ne comprends pas.

Bonne soirée

Jules ;)