Obtenez des réponses détaillées et fiables à vos questions sur Zoofast.fr. Découvrez des informations fiables et complètes sur n'importe quel sujet grâce à notre plateforme de questions-réponses bien informée.

bonjour dans c text il y a des fautes

Ce matin, en arrivant, après avoir éplucher les pommes de terres , je me suis sauvée
au jardin, sûr de la joie qui m’attendais. J’ai retrouvée les sensations de l’été dernier,
fraîches est neuves, qui m’attendait comme des amies. [ … ] Je suis restée a rêver sur
le banc là-haut, à me laisser caresser par cet atmosphère si douce qu’elle faisait
fondre mon cœur comme de la cire ; est à chaque moment je percevais une
splendeur nouvelle, le chant d’un oiseau qui s’essayait dans les arbres encore
dénudé, et auquel je n’avais pas encore fais attention.

Sagot :

Réponse :

Ce matin en après avoir épluché les pommes de terre, je me suis sauvée au jardin de la joie qui m'attendait. J'ai retrouvé les sensations de l'été dernier, frîches et neuves, qui m'attendaient comme des amies. Je suis restée à rêver sur le banc là-haut à me laisser caresser par cet atmosphère si doucequ'elle faisait fondre mon coeur comme de la cire ; et à cahque moment je percevais une splendeut nouvelle, le chant d'un oiseau qui s'asseyait dans les abre encore dénudé, et auquel je n'avais encore fait attention

TOUT EST CORRIGE FAIS COPIE COLLE un petit merci sur la réponse pleeease

Explications :

Réponse :

bonjour

Explications :

On va dire que tu es une fille pour les accords, puisque tu as mis "je me suis sauvée"  / je suis restée  

Ce matin, en arrivant, après avoir épluché les pommes de terre, je me suis sauvée  au jardin, sûre de la joie qui m’attendait . J’ai retrouvé les sensations de l’été dernier,  fraîches et neuves, qui m’attendaient comme des amies. [ … ] Je suis restée à rêver sur  le banc là-haut, à me laisser caresser par cette atmosphère si douce ,qui faisait  fondre mon cœur comme de la cire ; et à chaque moment je percevais une  splendeur nouvelle, le chant d’un oiseau qui s’essayait dans les arbres encore dénudés, et auxquels je n’avais pas encore fait attention.