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Les Types de discours
Indiquez la forme de discours dominante dans chaque phrase (narratif, descriptif, explicatif,
argumentatif). Justifiez brièvement votre réponse.
1. « Se sentant observés, les êtres énigmatiques disparurent ou se cachèrent plus soigneusement,
car Isabelle ne distingua ni n’entendit plus rien. »
2. « Il était bien enveloppé des pieds à la tête, et le bord d’un chapeau de feutre mou ne laissait
apercevoir de sa figure que le bout luisant de son nez. »
3. « Si l’on veut donner au mot « guerre » un sens assez précis et pas trop éloigné de l’usage courant,
on doit pouvoir distinguer la guerre du simple conflit ou de la lutte entre individus. »
4. « Je déteste la guerre. Je refuse de faire la guerre pour la seule raison que la guerre est inutile. Oui,
ce simple petit mot. La guerre de 1914 [...] devait être la dernière des guerres ; elle était la guerre
à tuer la guerre. L’a-t-elle fait ? Non. On nous prépare de nouvelles guerres ; elle n’a pas tué la
guerre ; elle n’a tué que des hommes inutilement. »
5. À propos du film Armaggedon : « Pour mettre en valeur Bruce Willis (qui n’est tout de même plus
en âge de sauver la planète à lui tout seul !), on lui a flanqué une bande de têtes brûlées forcément
pittoresques. C’est l’étoffe des anti-héros qui embarquent la comète de tous les dangers. C’est là
que ça se gâte, forcément. »
6. « Les feuilles jaunissent en automne parce que la chlorophylle cède la place à une substance
appelée carotène qui donne aux feuilles cette couleur jaune. »
7. « À l’intérieur, les façades ont six étages, quatre façades régulières enfermant le vaste carré de la
cour. Ce sont des murailles grises, mangées d’une lèpre jaune, rayées de bavures par
l’égouttement des toits, qui montent toutes plates du pavé aux ardoises, sans une moulure ; seuls
les tuyaux de descente se coudent aux étages, où les caisses béantes des plombs mettent la tache
de leur fonte rouillée. »
8. « Il erra encore deux jours dans les hauts pâturages désertiques des Franches-Montagnes, rôdant
le soir autour des fermes, mais l’aboiement des chiens le faisait rentrer sous bois. »