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bonjour pouvez m'aidez pour ses question merci beaucoup
a) Quel ton Zola emploie-t-il dans la deuxième partie du texte (« J’accuse le général de Peilleux… ») ? Justifiez votre réponse en repérant une figure de style. b) Pourquoi ? Quel effet veut-il produire ?
Qui Zola accuse-t-il ? Résumez avec vos propres mots chacune de ses accusations.
a) Relevez deux champs lexicaux dans les accusations. b) Relevez les termes péjoratifs utilisés par Émile Zola pour qualifier les personnes qu’il accuse. c) Selon vous, quelles ont pu être les réactions des lecteurs ?
À la fin de la lettre, quel effet l’expression « J’attends » crée-t-elle ?
a) Quel(s) sentiment(s) Zola exprime-t-il ? b) Comment fait-il pour les mettre en avant ? Citez une phrase qui vous semble exprimer ses émotions.
Quelles sont les valeurs défendues par Émile Zola dans sa lettre ? Citez le texte.
Quels sont les risques encourus par cet engagement public ? Citez le passage qui les mentionne.
Selon vous, pourquoi Zola a-t-il choisi la voie de la presse pour faire entendre son message ?

voici le texte :
En 1894, le capitaine Dreyfus est injustement condamné pour trahison en raison de son origine juive. L’affaire crée un énorme scandale qui divise l’opinion française. Le 13 janvier 1898, après une enquête minutieuse, Émile Zola publie dans le journal L’Aurore une lettre ouverte au président de la République, Félix Faure. Voici le début et la fin de la lettre.

Monsieur le Président,

Me permettez-vous, dans ma gratitude pour le bienveillant accueil que vous m'avez fait un jour, d'avoir le souci de votre juste gloire et de vous dire que votre étoile, si heureuse jusqu'ici, est menacée de la plus honteuse, de la plus ineffaçable des taches ? […]
Mais quelle tache de boue sur votre nom - j'allais dire sur votre règne - que cette abominable affaire Dreyfus ! Un conseil de guerre vient, par ordre, d'oser acquitter1 un Esterházy2, soufflet suprême à toute vérité, à toute justice. Et c'est fini, la France a sur la joue cette souillure, l'histoire écrira que c'est sous votre présidence qu'un tel crime social a pu être commis.
Puisqu'ils ont osé, j'oserai aussi, moi. La vérité, je la dirai, car j'ai promis de la dire, si la justice, régulièrement saisie, ne la faisait pas, pleine et entière. Mon devoir est de parler, je ne veux pas être complice. Mes nuits seraient hantées par le spectre de l'innocent qui expie là-bas, dans la plus affreuse des tortures, un crime qu'il n'a pas commis. […]

J'accuse le général de Pellieux et le commandant Ravary d'avoir fait une enquête scélérate, j'entends par là une enquête de la plus monstrueuse partialité, dont nous avons, dans le rapport du second, un impérissable monument de naïve audace.
J'accuse les trois experts en écritures, les sieurs Belhomme, Varinard et Couard, d'avoir fait des rapports mensongers et frauduleux, à moins qu'un examen médical ne les déclare atteints d'une maladie de la vue et du jugement.
J'accuse les bureaux de la guerre d'avoir mené dans la presse, particulièrement dans L'Eclair et dans L'Echo de Paris, une campagne abominable, pour égarer l'opinion et couvrir leur faute.
J'accuse enfin le premier conseil de guerre d'avoir violé le droit, en condamnant un accusé sur une pièce restée secrète, et j'accuse le second conseil de guerre d'avoir couvert cette illégalité, par ordre, en commettant à son tour le crime juridique d'acquitter sciemment un coupable.
En portant ces accusations, je n'ignore pas que je me mets sous le coup des articles 30 et 31 de la loi sur la presse du 29 juillet 1881, qui punit les délits de diffamation. Et c'est volontairement que je m'expose.
Quant aux gens que j'accuse, je ne les connais pas, je ne les ai jamais vus, je n'ai contre eux ni rancune ni haine. Ils ne sont pour moi que des entités, des esprits de malfaisance sociale. Et l'acte que j'accomplis ici n'est qu'un moyen révolutionnaire pour hâter l'explosion de la vérité et de la justice.
Je n'ai qu'une passion, celle de la lumière, au nom de l'humanité qui a tant souffert et qui a droit au bonheur. Ma protestation enflammée n'est que le cri de mon âme. Qu'on ose donc me traduire en cour d'assises et que l'enquête ait lieu au grand jour !
J'attends.
Veuillez agréer, Monsieur le Président, l'assurance de mon profond respect.

Sagot :

Réponse :

Je suis pas sûr mais

1) a) Dans la deuxième partie du texte Zola utilise un ton poétique, les figures de style qui m'ont éguillaient sont les métaphore dans la phrase "Ma protestation enflammée n'est que le cri de mon âme" par exemple

b) Car, Zola à cette manière d'écrire si poétique

le reste j'ai pas fais si jtrouve jtenvoie tkt mais ismail jsvp t'utilisais nos devoirs c'est aberrant mec

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