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Dans mon rêve, j'étais attiré par cette maison et j'allais vers elle. Une barrière peinte en blanc fermait l'entrée. Ensuite, on suivait une allée dont la courbe avait beaucoup de grâce. Cette allée était bordée d'arbres sous lesquels je trouvais les fleurs de printemps. [...] Quand on débouchait de cette allée, on se trouvait vers la maison. Devant celle-ci s'étendait une grande pelouse, tondue comme les gazons anglais et presque nue.
D'après André Maurois, « La Maison », dans Toujours l'inattendu arrive, © Deux Rives, 1946.​