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aidez moi svp! merci d'avance<3
1.Qui parle à qui dans le poème ? Justifiez en citant des passages.
2a. Quel procédé d'écriture repérez-vous dans la première strophe ?
b. Citez d'autres éléments du poème qui développent cette image.
3.Quels sentiments le poète exprime-t-il ? Expliquez.
4.Comment comprenez-vous les deux dernières strophes ? Expliquez avec vos propres mots.
5 Ce poème est-il lyrique ? Justifiez.​

Aidez Moi Svp Merci Davancelt3 1Qui Parle À Qui Dans Le Poème Justifiez En Citant Des Passages 2a Quel Procédé Décriture Repérezvous Dans La Première Strophe B class=

Sagot :

Réponse :

1. Le poète amoureux s'exprime.

"mon coeur, il palpite autour de ta robe"

2. a) Dans la première strophe, on trouve une comparaison :

Mon coeur ... Est comme un oiseau dans tes mains

b) La comparaison avec l'oiseau : s'effarouche, trembler comme une plume, furtif, léger, passager.

3. Le poète exprime sa crainte devant un amour fragile, il est attentif et il demande de la douceur. Son amour n'est peut-être pas partagé, il craint l'indifférence de l'autre.

4. "Et quand tu le ferais souffrir

Jusqu'à saigner, jusqu'à mourir,

Tu pourrais en garder le doute,

Et de sa peine ne savoir

Qu'une larme tombée un soir

Sur ton gant taché d'une goutte."

La souffrance de l'amour est symbolisé par le verbe saigner et la larme transformée en goutte de sang qui tombe sur le gant".

5. Le poème st lyrique car il exprime les inquiétudes et les souffrances de l'amour. L'auteur ne dit pas "Je" mais il dit "mon coeur". Oui, le poème est lyrique.

Explications :

Viole

Mon coeur, tremblant des lendemains,

Est comme un oiseau dans tes mains

Qui s'effarouche et qui frissonne.

Il est si timide qu'il faut

Ne lui parler que pas trop haut

Pour que sans crainte il s'abandonne.

Un mot suffit à le navrer,

Un regard en lui fait vibrer

Une inexprimable amertume.

Et ton haleine seulement,

Quand tu lui parles doucement,

Le fait trembler comme une plume.

Il t'environne ; il est partout.

Il voltige autour de ton cou,

Il palpite autour de ta robe,

Mais si furtif, si passager,

Et si subtil et si léger,

Qu'à toute atteinte il se dérobe.

Et quand tu le ferais souffrir

Jusqu'à saigner, jusqu'à mourir,

Tu pourrais en garder le doute,

Et de sa peine ne savoir

Qu'une larme tombée un soir

Sur ton gant taché d'une goutte.