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Retrouvez et corrigez, en précisant la ligne, les vingt erreurs de ce texte.

Le jeune Jim Hawkins est le fils des gérants de l'auberge de L'Amiral-Benbow, er Angleterre Un jour Billy Bones, un vieux loup de mer chargé d'un coffre, s'installe à l'auberge Jim est tout à la fois fasciné et terrifié par ce marin,

Il advint que mon pauvre père mourut cette nuit-la, fort à l'improviste, ce qui me fit négliger tout autre soucis Notre legitime désolation, les visites des voisins, les apprêts des funérailles et tout le travail de l'auberge à soutenir entre tant, m'accaparèrent si bien que j'eu à peine le loisir de songer au capitaine, et moins 5 encore d'avoir peur de lui. Il descendit le lendemain matin, à vrai dire, et prit ses repas comme d'habitude ;) il mangea peut, mais but du rhum, je le craint, plus qu'à l'ordinaire, car il se servit lui-même au comptoir, l'air farouche et soufflant par le nez, sans que personne osât s'y opposé. Le soir qui précéda l'enterrement, il était plus ivre que jamais, et cela scandalisait, dans cette maison en dueil) de l'ouir chanter son sinistre vieux refrain de mer. Mais, en dépit de sa faiblesse, il nous inspirait à tous une crainte mortelle, et le docteur, appelait subitement auprès d'un malade qui habitait à plusieurs mille, resta éloigné de chez nous après le décès de mon père. Je viens de dire que le capitaine était faible; en réalitée, il paraissait s'affaiblir au lieu de reprendre des 5 forces. Il grimpait et descendait l'escalier, allait et venait de la sale à l'estaminet et réciproquement, et parfois mettait le nez au dehors pour humer l'air salin, mais il marchait en se tenant aux murs, et respirait vite et avec force, comme on fait en escaladant une montagne. Pas une fois il ne me parlat en particulier, et je suis persuadé qu'il avait quasi oublié ses confidences. Mais son humeur était plus instable, et en dépit de sa faiblesse corporelle, plus agressive que jamais. Lorsqu'il avait but, il prenait la manie inquiétante de tirer son coutelas et de garder la lame à sa portée sur sa table. Mais tous compte fait, il se souciait moins des gens et avait l'air plongé dans ses pensées et à demi absent. Une fois, par exemple, a notre grande surprise, il entona un air nouveau, une sorte de rustique chanson d'amour qu'il avait due connaître tout jeune avant de naviguer. Ainsi allèrent les choses jusqu'au lendemain de l'enterrement. Vers les trois eures, par un après-midi aprè, de brume glacée, je m'étais mis sur le seuil une inute, songeant tristement à mon père, lorsque je vis sur la route un individu qui approchait avec lenteur. Il était à cou súr aveugle, car il tapotait devant lui avec bâton et portait sur les yeux et le nez une grande visière verte; il était courbé -les ans ou par la fatigue, et son vaste caban de marin, tout loqueteu, le faisait aître vraiment difforme. De ma vie je n'ai vu plus sinistre personnage. R-L Stevenson, L'Ile au trésor, 1881

Bonjour je n'arrive pas à trouver les erreurs pourriez vous m'aider svp.​

Sagot :

Bonjour

Le jeune Jim Hawkins est le fils des gérants de l'auberge de L'Amiral-Benbow, er Angleterre. Un jour Billy Bones, un vieux loup de mer chargé d'un coffre, s'installe à l'auberge. Jim est tout à la fois fasciné et terrifié par ce marin,

Il advint que mon pauvre père mourut cette nuit-là, fort à l'improviste, ce qui me fit négliger tout autre souci. Notre légitime désolation, les visites des voisins, les apprêts des funérailles et tout le travail de l'auberge à soutenir entre-temps, m'accaparèrent si bien que j'eus à peine le loisir de songer au capitaine, et moins 5 encore d'avoir peur de lui. Il descendit le lendemain matin, à vrai dire, et prit ses repas comme d'habitude ;) il mangea peu, mais but du rhum, je le crains, plus qu'à l'ordinaire, car il se servit lui-même au comptoir, l'air farouche et soufflant par le nez, sans que personne osa s'y opposer. Le soir qui précéda l'enterrement, il était plus ivre que jamais, et cela scandalisait, dans cette maison en deuil) de l'ouïr chanter son sinistre vieux refrain de mer. Mais, en dépit de sa faiblesse, il nous inspirait à tous une crainte mortelle, et le docteur, appelait subitement auprès d'un malade qui habitait à plusieurs milles, resta éloigné de chez nous après le décès de mon père. Je viens de dire que le capitaine était faible; en réalité, il paraissait s'affaiblir au lieu de reprendre des forces. Il grimpait et descendait l'escalier, allait et venait de la salle à l'estaminet et réciproquement, et parfois mettait le nez au dehors pour humer l'air salin, mais il marchait en se tenant aux murs, et respirait vite et avec force, comme on fait en escaladant une montagne. Pas une fois il ne me parla en particulier, et je suis persuadé qu'il avait quasi oublié ses confidences. Mais son humeur était plus instable, et en dépit de sa faiblesse corporelle, plus agressive que jamais. Lorsqu'il avait bu, il prenait la manie inquiétante de tirer son coutelas et de garder la lame à sa portée sur sa table. Mais tout compte fait, il se souciait moins des gens et avait l'air plongé dans ses pensées et à demi absent. Une fois, par exemple, à notre grande surprise, il entonna un air nouveau, une sorte de rustique chanson d'amour qu'il avait du connaître tout jeune avant de naviguer. Ainsi allèrent les choses jusqu'au lendemain de l'enterrement. Vers les trois heures, par un après-midi de brume glacée, je m'étais mis sur le seuil une minute, songeant tristement à mon père, lorsque je vis sur la route un individu qui approchait avec lenteur. Il était à coup sûr aveugle, car il tapotait devant lui avec un bâton et portait sur les yeux et le nez une grande visière verte; il était courbé -les ans ou par la fatigue, et son vaste caban de marin, tout loqueteux, le faisait être vraiment difforme. De ma vie je n'ai vu plus sinistre personnage. R-L Stevenson, L'Ile au trésor, 1881

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