Réponse :
bonjour
Explications :
voici quelques explications pur t'aider dans ton devoir
1. Par quelles comparaisons l’auteur désigne-t-il les indigènes et les explorateurs ? Que signifient ces comparaisons ?
- les indigènes sont « ces tendres brebis », les explorateurs sont « les « Espagnols » « des loups des tigres et des lion cruels affamés »
- Ces comparaisons signifient que les Espagnols étaient avides de sang, que tous les moyens aussi cruels soient ils seront bons pour conquérir assouvir leur soif de richesse
2. Les souffrances infligées aux indigènes : « ils ne font que le mettre en pièces, les tuer, les inquiéter, les affliger, les tourmenter, et les détruire par des cruauté étranges, nouvelles variées, jamais vues, jamais lues, ni entendues ». Pour les détruire ils font preuve d’imagination cruelle et sauvage
3. La motivation essentielle : « avoir de l’or, se gonfler de richesse en très peu de temps et de s’élever à de hautes positions disproportionnées à leur personne. » . Les terres étaient riches, les gens pauvres, et facilement soumis. Aucun respect pour cette population ni considération, ni estime, que l’appât de la fortune.
4. Mots qui qualifient les conquérants : « Espagnols, loups tigres, lions très cruels et affamés, chrétiens, …
Mots qui qualifient les indigènes : « tendres brebis, douze millions d’âme, âmes, gens si humble, si patients, si facilement soumis » « gens si humbles »
On en déduit que ces conquérants n’ont pas eu de pitié pour ces pauvres gens qui ne demandaient rien, ils les ont massacrés par plaisir parce que, s’ils avaient juste voulu prendre les richesses, le pauvre peuple n’aurait certainement pas opposé de résistance. C’étaient des barbares.
5. «ligne 3 des loups….
- les tourmenter, les détruite, cruautés étranges, nouvelles, variées…
- œuvres infernales
- « qu’il ne pouvait en avoir de pires au monde »
reformulation ;
Avides de pouvoir et d’argent, ces conquérants ont avilies toute une population qui n’a pas compris tout de suite ce qui lui arrivait, cette population humble, qui n’avait rien demandé. Les massacres, les persécutions, les meurtres, n’ont finalement été qu’un jeu pour ces tortionnaires qui n’auraient pas eu besoin de recourir à cette violence sans nom.
