pouvez-vous m'aider, j'ai déjà commencé j'ai besoin d'autres idées . en avez-vous? Donc 10 points au meilleur, et 5 points à tous ceux qui auront la gentillesse, de me donner des idées.
VOICI LE SUJET: dans une première partie vous analyserez comment l'auteur donne un aspect réaliste à son récit et souligne l'enchaînement rapide des étapes.dans une seconde partie vous étudierez comment zola dénonce le fonctionnement de la justice et les inégalités sociales.
Consignes: votre travail devra comporter une intro, et une conclusion.proposer une analyse des citations relevées.
VOICI DONC CE QUI nousa été donné comme consignes sur le texte QUE VOICI/
Le texte vient d'émile Zola : le ventre de Paris chapitre1
Florent est pris dans une émeute DU 4 déc 1851( coup d'état de Napo bonaparte) par hasard.une jeune femme est tuée par des soldats et meurt sur lui.il est arrête avec du sang de la femme plein ses mains.
on le conduisit à un poste voisin, en laissant au chef de poste cette ligne écrite au crayon de papier:"pris les mains couvertes de sang.Très dangereux ."
jusqu'au matin,il fut trainé de poste en poste.Le chiffon de papier l'accompagnait.
On lui avait mis les menottes,on le gardait comme un fou furieux.Au poste de la rue de la lingerie , des soldats ivres voulurent le fusiller;ils avaint déjà allumé le fallot quand l'ordre vint de conduire les prisonniers au dépot de la préfecture de police.Le surlendemein il était dans une casemate du fort de Bicetre.C'était depuis ce jour qu'il souffrait de la faim;il avait eu faim dans la casemate et la faim ne l'avait plus quitté.ILs se trouvaient une centaine parqués au fond de cette cave, sans air,dévorant les quelques bouchées de pain qu'on leur jettait , ainsi qu'à des bêtes enfermées.Lorsqu'il parut devant un juge d'instruction, sand témoin d'aucune sorte , sans défenseur, il fut accusé de faire partie d'une société secrète et, comme il jurait que ce n'était pas vrai le juge titra de son dossier le chiffon de papier:"pris les mains couvertes de sang.Très dangereux."
cela suffit.On le condamna à la déportation.Au bout de 6 semaines en janvier un geôlier le réveilla,une nuit,l'enferma dans une cour,avec 400 et quelques prisonniers.Une heure plus tard,ce prmier convoi partait pour les pontons et l'exil,les menottes aux poignets,entre 2 files de gendarmes , fusils chargés.Ils traversèrent le pont d'Austerliz, suivirent la ligne des boulevards,arrivèrent à la gare du havre.C'était une nuit heureuse de carnaval;les fenêtres des restaurants luisaient ;à la hauteur de la rue vivienne, à l'endroit où il voyait toujours la morte inconnue dont il empotait l'image,Florent aperçiut au fond d'une grande calèche,des femmes masquées,les épaules nues,la voix rieuse,se fachant de ne povoir passer,faisant les dégoutées devant " ces forçats qui n'en finissaient plus". De Paris au Havre , les prisonniers n'eurent pas une bouchée de pain,pas un verre d'eau;On avait oublié de leur distribuer des rations avant le départ.
Ils ne mangèrent que 36 heures plus tard,quand on les eut entassés dans la cle de la frégate le Canada.