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8 s, indiquez à ifiez l'emploi nouveau son par l'intrigue tre familiers. lièrement. Il t sa lecture : ue et la brise EMPLOYER a. Récrivez ce texte en conjuguant les verbes à l'imparfait ou au passé simple. b. En binôme, validez vos réponses en les justifiant.** Je (ouvrir) la porte sans peine. L'appartement (être) telle- ment sombre que je m'arrêter) sur le seuil. Puis, mes yeux (s'habituer) à l'obscurité et je (distinguer) une grande pièce en désordre. Je (s'approcher) : le lit n'avoir) pas de draps, mais l'oreiller (porter) une empreinte : une tête (sembler) s'être posée dessus. Comme je n'y (voir) pas suffisamment, je (vouloir) ouvrir la fenêtre. Tout à coup, je (croire) entendre ou plutôt sentir un frôlement derrière moi : mon regard (se poser) sur une grande femme vêtue de blanc qui me (regarder) fixement. Une telle secousse me (parcourir) que je (faillir) m'abattre à la renverse ! D'après G. DE MAUPASSANT, « L'Apparition », 1883. des parcs, 1956 njuguant un b. Justifiez qui (servir) atteindre) le au fond du uvrir) tout à es sommets eil (se lever) berge », 1886. 9 ÉCRIRE a. Rédigez la suite du texte de l'exercice 8 en utilisant le passé simple et l'imparfait pour le récit et en intégrant une phrase au présent de vérité générale. b. Soulignez les trois temps de couleurs différentes. c. En binôme, échangez pour justifier vos emplois de chaque temps.
SVP QUI PEUX RÉPONDRE A L'EXERCICE 9 ??

Sagot :

Réponse :

Bonsoir

Explications :

La consigne du début est incompréhensible !

a. Récrivez ce texte en conjuguant les verbes à l'imparfait ou au passé simple.

J'ouvris la porte sans peine. L'appartement était tellement sombre que je m'arrêtai sur le seuil. Puis, mes yeux s'habituèrent à l'obscurité et je distinguai une grande pièce en désordre. Je m'approchai : le lit n'avait pas de draps, mais l'oreiller portait une empreinte : une tête semblait s'être posée dessus. Comme je n'y voyais pas suffisamment, je voulus ouvrir la fenêtre. Tout à coup, je crus entendre ou plutôt sentir un frôlement derrière moi : mon regard se posa sur une grande femme vêtue de blanc qui me regardait fixement. Une telle secousse me parcourut que je faillis m'abattre à la renverse !

D'après G. DE MAUPASSANT, « L'Apparition », 1883. des parcs, 1956

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