Ronsard personnifie la rose avec le GN "sa robe " et "son teint" il la compare à une femme en robe pourpre mais à l'inverse Cassandre et elle aussi comparé à la rose "son teint au vôtre pareil" "fleuronne" "cueillez" elles ont la même beauté cependant les indications du temps au vert de 2-4-7 et 12 nous montre que cette beauté est éphémère la personnification de la nature en maratre la répétition de l'interjection "l'as!" souligner la cruauté de cette disparition
le poète donne donc une leçon à Cassandre dans l'antithèse entre "jeunesse" vers 16 et "vieillesse" vers 17 et dans la répétition de l'impératif "cueillez" il faut profiter de sa jeunesse et de sa beauté avant qu'elle ne se fane donc oui c'est un poème d'amour
