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Sagot :
Bonsoir, j’essaierai de vous aider :
Tout d’abord, pour l’analyse du sujet :
- Distraire : amusement : radical = une muse , une muse en mythologie grecque est une inspiration, une respiration , une influence , et le plus important un « souffle » ce terme mis en exergue là on pourrait le mettre en lien avec une œuvre Alcools d’Apollinaire (on y reviendra plus tard)
Ici, plusieurs œuvres ont pour fonction de nous ouvrir au monde qui nous entoure : prenons l’exemple des Essais des Cannibales et Des Coches écrit par Montaigne , un humaniste (mouvement qui place l’Homme au centre du Monde, ils essayent de trouver la forme parfaite humaine : un épicurien , (penser au dessin de Léonard De Vinci « de Vitruve ») Montaigne en testant sa pensée nous fait permettre à nous lecteur de nous identifier aux « sauvages » les indigènes d’Amerique, il relativise également en s’intéressant à leur coutume :le cannibalisme + l’anthropophagie= manger la même chaire que nous. En effet, il ne va pas juger le cannibalisme en étant mal mais en s’abstenant de tout jugement d’où son scepticisme, il doute tout le temps de tout et de rien. En réalité cette pédagogie est en fait un miroir inversé qui reflète les défauts de sa civilisation à lui, les Européens car les deux civilisations se ressemblent car les deux sont fascinées par l’autre et vice-versa : les sauvages acceptent de rencontrer le monde européen (rencontre à Rouen avec le roi Charles 9 et Montaigne qui l’accompagne) or à cette rencontre le roi ne pose que des questions par rapport à sa civilisation à lui contrairement à Montaigne qui lui s’intéressent à la leur, or surprise les sauvages vont critiquer en mal mais raisonnablement la civilisation européenne. Donc là cette œuvre est une sorte d’éducation humaniste d’où la racine humanisme, humanité, nous.
Par contre, (l’antithèse) certains auteurs ont qlq fois merdés par exemple le cas de Picasso qui va peindre le tableau de Guernica (une guerre) donc avec tous les éléments d’une guerre : cadavres tout ça. Mais, il aurait été accusé d’en fait de s’en foutre complément de la lutte pour cette cause qui est la guerre c mal , mais va embellir son œuvre pour ses admirateurs, il ne s’intéresse qu’au fric quoi. Bon.. sinon on pourrait prendre l’exemple d’Alcools, qui représente un « souffle » nouveau , de création poétique , dans cette œuvre le poète va créer du nouveau / moderne en s’inspirant de l’ancien/ la tradition pour s’amuser, il prend son propre plaisir en écrivant et invite ses lecteurs à faire de même, à profiter de ce qu’il a écrit , d’adhérer à cette modernité « Ecoutez-moi je suis le gosier de Paris Et je boirai encore s’il me plait l’univers » ici le terme boire reflète l’idée d’un alcool (le titre) plutôt de plusieurs alcools , car quand on boit de l’alcool on est ivre mais ivre au sens poétique car quand on est ivre on est « amusé » au sens étymologique du terme, radical = muse , un souffle/ un dieu (allusion au dieu du vin ´Diosynos’) extérieur à nous mais que l’on laisse entrer en nous pour nous inspirer à faire du nouveau, (en contradiction avec le réel sens de l’alcool qui nous dévie du droit chemin et qui nous fait perdre raison...attention avec modération :) ).
Voilà j’espère vous avoir longuement aidé .
Tout d’abord, pour l’analyse du sujet :
- Distraire : amusement : radical = une muse , une muse en mythologie grecque est une inspiration, une respiration , une influence , et le plus important un « souffle » ce terme mis en exergue là on pourrait le mettre en lien avec une œuvre Alcools d’Apollinaire (on y reviendra plus tard)
Ici, plusieurs œuvres ont pour fonction de nous ouvrir au monde qui nous entoure : prenons l’exemple des Essais des Cannibales et Des Coches écrit par Montaigne , un humaniste (mouvement qui place l’Homme au centre du Monde, ils essayent de trouver la forme parfaite humaine : un épicurien , (penser au dessin de Léonard De Vinci « de Vitruve ») Montaigne en testant sa pensée nous fait permettre à nous lecteur de nous identifier aux « sauvages » les indigènes d’Amerique, il relativise également en s’intéressant à leur coutume :le cannibalisme + l’anthropophagie= manger la même chaire que nous. En effet, il ne va pas juger le cannibalisme en étant mal mais en s’abstenant de tout jugement d’où son scepticisme, il doute tout le temps de tout et de rien. En réalité cette pédagogie est en fait un miroir inversé qui reflète les défauts de sa civilisation à lui, les Européens car les deux civilisations se ressemblent car les deux sont fascinées par l’autre et vice-versa : les sauvages acceptent de rencontrer le monde européen (rencontre à Rouen avec le roi Charles 9 et Montaigne qui l’accompagne) or à cette rencontre le roi ne pose que des questions par rapport à sa civilisation à lui contrairement à Montaigne qui lui s’intéressent à la leur, or surprise les sauvages vont critiquer en mal mais raisonnablement la civilisation européenne. Donc là cette œuvre est une sorte d’éducation humaniste d’où la racine humanisme, humanité, nous.
Par contre, (l’antithèse) certains auteurs ont qlq fois merdés par exemple le cas de Picasso qui va peindre le tableau de Guernica (une guerre) donc avec tous les éléments d’une guerre : cadavres tout ça. Mais, il aurait été accusé d’en fait de s’en foutre complément de la lutte pour cette cause qui est la guerre c mal , mais va embellir son œuvre pour ses admirateurs, il ne s’intéresse qu’au fric quoi. Bon.. sinon on pourrait prendre l’exemple d’Alcools, qui représente un « souffle » nouveau , de création poétique , dans cette œuvre le poète va créer du nouveau / moderne en s’inspirant de l’ancien/ la tradition pour s’amuser, il prend son propre plaisir en écrivant et invite ses lecteurs à faire de même, à profiter de ce qu’il a écrit , d’adhérer à cette modernité « Ecoutez-moi je suis le gosier de Paris Et je boirai encore s’il me plait l’univers » ici le terme boire reflète l’idée d’un alcool (le titre) plutôt de plusieurs alcools , car quand on boit de l’alcool on est ivre mais ivre au sens poétique car quand on est ivre on est « amusé » au sens étymologique du terme, radical = muse , un souffle/ un dieu (allusion au dieu du vin ´Diosynos’) extérieur à nous mais que l’on laisse entrer en nous pour nous inspirer à faire du nouveau, (en contradiction avec le réel sens de l’alcool qui nous dévie du droit chemin et qui nous fait perdre raison...attention avec modération :) ).
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