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Sagot :
Nous avons travaillé dessus, voici mot pour mot les corrections :
Le plasma prélevé sur le cobaye A vient de sa guérison à la diphtérie qui vient des anticorps antidiphtériques.
Ce liquide est ensuite injecté aux cobayes B, C.
Au cinquieme jour, ils vont subir une piqûre. Le cobaye B va recevoir la bactérie de la diphtérie alors que le cobaye C va recevoir la bactérie du tétanos.
Or les anticorps n'agissent que sur UNE sorte d'antigène. En l'occurrence, danns le plasma, il s'agissait des anticorps spécifiques aux antigènes de la diphtérie et non du tétanos.
Ainsi, le cobaye B a pu résister en neutralisant les antigènes qui se forment/ qui produisent un complexe anticorps-antigène. Les antigènes seront éliminés par phagocytose. Le cobaye B avait les défenses adaptés, contrairement au cobaye C.
Le cobaye D, quant à lui, aurait pu survire à un détail près. Si l'injection de la bactérie avait eu lieu environ vingt jours avant parce que le taux d'anticorps antidiphtériques dans le sang diminue au cours du temps. Après le délais de 15 jours, les anticoprs ne sont plus là. Ils ont donc cessé d'agir en tant que Défense immunitaires.
Le cobaye repare donc sans les protections Nécessaires contre une infection à la diphtérie.
Or le cobaye D a reçu une injection à la diphtérie au troisième jour, comme il n'avait plus les anticorps spécifiques, la bactérie a fini par le tuer.
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