Trouvez des réponses fiables à vos questions avec l'aide d'Zoofast.fr. Rejoignez notre communauté pour accéder à des réponses rapides et fiables à vos questions de la part de professionnels expérimentés.

4. « Il n’était toutefois pas d’une grande fraîcheur » (l. 15) :
Quel est son sens dans le texte ? (1 point)
6. « (…) signe qu’il était de retour dans la vraie vie. » (l. 4) : quel est ce « signe » de « vraie vie » ? Quel aspect de la vie des soldats est ainsi montré ? (3 points)
7. Pourquoi la phrase des lignes 8 à 10 est-elle choquante ? Justifiez votre réponse en expliquant le registre (ou procédé) employé. (6 points)
8. Que fait Albert lorsque les brancardiers le trouvent ? Quel autre aspect de la guerre illustre-t-il ? (5 points)
9. « Il souffrait le martyre, ce qui était, somme toute, bon signe » (l. 14-15) : pourquoi ces deux propositions semblent-elles contradictoires ? Qu’est-ce que cela nous montre ? (6 points)
10. a. Comment les soldats sont-ils représentés sur le tableau de Gromaire ? Décrivez précisément leur attitude. (5 points)
b. Que ressentez-vous face à ce tableau ? Quel aspect du texte illustre-t-il bien ? (5 points)
svpp Aide moi pour ces questions le 6 /7 /9

4 Il Nétait Toutefois Pas Dune Grande Fraîcheur L 15 Quel Est Son Sens Dans Le Texte 1 Point6 Signe Quil Était De Retour Dans La Vraie Vie L 4 Quel Est Ce Signe class=

Sagot :

Réponse :

bonsoir

Explications :

voici quelques éléments pour répondre à tes questions

6. « (…) signe qu’il était de retour dans la vraie vie. » (l. 4) : quel est ce « signe » de « vraie vie » ? Quel aspect de la vie des soldats est ainsi montré ? (3 points)

Albert était vivant, il vomissait « tripes et boyaux », signe qu’il était encore parmi les vivants.

-aspect de la vie des soldats : ils n’ont pas le temps de penser, tant qu’il reste un souffle de vie, ces soldats combattront, ils ont du courage jusqu’au bout.

7. Pourquoi la phrase des lignes 8 à 10 est-elle choquante ? Justifiez votre réponse en expliquant le registre (ou procédé) employé. (6 points)

Cette phrase est choquante du fait que l’on parle de morts, blessés, disparus, une phrase avec un langage tactique militaire, sans compter les morts ennemis « les Boches ». C’est choquant car finalement on parle d’êtres humains qui sont morts mais on décompte cela comme une réussite puisque « trente-huit morts, vingt-sept blessés et deux disparus » étaient « un excellent rendement », c’était acceptable face au résultat obtenu.

8. Que fait Albert lorsque les brancardiers le trouvent ? Quel autre aspect de la guerre illustre-t-il ? (5 points)

Albert tient la tête d’Edouard sur ses genoux, il chantonne et le berce. Il a un air « halluciné », c’est l’esprit de camaraderie entre les soldats qui prime ici, de solidarité aussi.

9. « Il souffrait le martyre, ce qui était, somme toute, bon signe » (l. 14-15) : pourquoi ces deux propositions semblent-elles contradictoires ? Qu’est-ce que cela nous montre ? (6 points)

Contradictoire parce qu’il « souffre » mais c’est « bon signe ». s’il souffre c’est qu’il est vivant.

10. a. Comment les soldats sont-ils représentés sur le tableau de Gromaire ? Décrivez précisément leur attitude. (5 points)

Les soldats ressemblent plus à des robots qu’à des humains. Ils portent des casques, et on dirait une armure également sur leur corps. Deux soldats sont assis au premier plan et on peut bien distinguer les mains d’un des soldats. Ils ont l’air de surveiller (l’ennemi peut-être) les trois autres soldats au fond semblent veiller. On dirait des statues taillées dans de la pierre.

b. Que ressentez-vous face à ce tableau ? Quel aspect du texte illustre-t-il bien ? (5 points)

On ressent un certain malaise face à ce tableau car finalement ce sont des soldats qui sont représentés, complètement déshumanisés ici mais on dirait des objets, et ils ne sont que de « la chair à canon », ne doivent faire que ce qui est ordonné, on ne leur demande pas de réfléchir, ils doivent combattre dans leurs tranchées.

- Aspect du texte « il aurait été contraint de remettre à plus tard sa réflexion sur les questions qu’il se posait ». Le soldat n’a pas le temps de réfléchir à ce qui vient de se passer même s’il est très mal en point, « pas d’une grande fraîcheur ».