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bonjour tout le monde pouvez vous mettre tous le verbe de ce texte au conditionnel merci!!!


Le jeune hardi
Je suis le benjamin d’une famille de six enfants. J’ai trois frères et deux sœurs. Je suis le fils d’une pauvre famille qui gagne peu d’argent, qu’on possédait grâce à des travaux saisonniers. Nous étions amaigries par la faim et affaiblies par le travail dur que nous faisions.
Grâce au travail remarquable que je faisais, j’étais remarqué par une noble famille de bourgeois qui voulais m’embaucher pour travailler chez eux (ménage, repassage…) un jour, J’ai pris rendez-vous avec eux, nous avions discuté de manière convenable sur le travail à faire, les horaires, le salaire…
Les propriétaires de la maison qui m’ont accueilli chez eux, Monsieur Dubois m’a dit :
- Bonjour jeune homme, je supposerais que je posséderiez les qualités requises pour nettoyer notre grande demeure.
- Bonjour Monsieur, j’aurais l’honneur, de travailler chez vous !
Monsieur Dubois :
- On aimerait bien savoir, combien voudriez-vous comme émolument contre vos services ?
- Je vous ferais confiance et vous verriez mon travail d’abord !
J’ai commencé à travailler chez la famille Dubois oû les conditions de travail étaient bien. Grâce à mes compétences mes employeurs étaient fiers, heureux donc ils m’ont bien récompensé.
J’étais aimé par la famille et préfère cela a déclenché la jalousie des autres personnes qui travaillaient chez la même famille (le jardinier, la cuisinière…)
Un jour, monsieur et madame, Dubois m’ont accusé de vol d’une montre en or, qu’ils ont trouvé dans mes affaires. J’essayais de leur dire que j’étais innocent mais ils ne veulent rien entendre, ils m’ont viré. J’étais humilié, triste je penserais à ma famille et son avenir !
Dix ans plus tard, après des années de recherche, de misère de pauvreté. Je travaillais chez un vieillard qui n’avait pas de famille, il était seul, ce dernier m’appréciait beaucoup grâce à mon sérieux travail et ma sincérité.
Après son décès je découvrirais que j’étais le seul héritier de sa fortune.
Enfin j’ai décidé de retourner à mon village, j’ai beaucoup aidé ma famille financièrement, même les pauvres de mon village.
Un jour, j’ai rencontré mes anciens employeurs M. et Mme Dubois ces derniers m’ont présenté leurs excuses car le Jardinier leur racontait que j’étais innocent et j’étais victime d’une conspiration (le jardinier et sa complice la cuisinière ont caché la montre d’or dans mes affaires). J’ai accepté volontairement leurs excuses et nous sommes devenues des amis, je n’ai jamais pu oublier les beaux jours que j’ai passé chez eux c’était une famille généreuse, agréable.

Sagot :

Réponse :

Bonjour

Explications :

Le jeune hardi

Je serais le benjamin d’une famille de six enfants. J’aurais trois frères et deux sœurs. Je serais le fils d’une pauvre famille qui gagnerait peu d’argent, qu’on posséderait grâce à des travaux saisonniers. Nous serions amaigries par la faim et affaiblies par le travail dur que nous ferions.

Grâce au travail remarquable que je ferais, je serais  remarqué par une noble famille de bourgeois qui voudrait m’embaucher pour travailler chez eux (ménage, repassage…) un jour, Je prendrais rendez-vous avec eux, nous discuterions  de manière convenable sur le travail à faire, les horaires, le salaire…

Les propriétaires de la maison qui m’accueilleraient chez eux, Monsieur  et madame Dubois m’auraient dit :

- Bonjour jeune homme, je supposerais que je posséderiez les qualités requises pour nettoyer notre grande demeure.

- Bonjour Monsieur, j’aurais l’honneur, de travailler chez vous !

Monsieur Dubois :

- On aimerait bien savoir, combien voudriez-vous comme émolument contre vos services ?

- Je vous ferais confiance et vous verriez mon travail d’abord !

Je commencerais à travailler chez la famille Dubois où les conditions de travail seraient bien. Grâce à mes compétences mes employeurs seraient fiers, heureux donc ils me récompenseraient bien .

Je serais  aimé par la famille et préféré , cela déclencherait  la jalousie des autres personnes qui travailleraient chez la même famille (le jardinier, la cuisinière…)

Un jour, monsieur et madame, Dubois m’accuseraient de vol d’une montre en or, qu’ils trouveraient  dans mes affaires. J’essaierais  de leur dire que je suis innocent mais ils ne voudraient rien entendre, ils me vireraient . Je serais  humilié, triste je penserais à ma famille et son avenir !

Dix ans plus tard, après des années de recherche, de misère de pauvreté. Je travaillerais  chez un vieillard qui n’aurait pas de famille, il serait seul, ce dernier m’apprécierait beaucoup grâce à mon sérieux travail et ma sincérité.

Après son décès je découvrirais que je serais le seul héritier de sa fortune.

Enfin je déciderais de retourner à mon village, j’aiderais   beaucoup ma famille financièrement, même les pauvres de mon village.

Un jour, je rencontrerais  mes anciens employeurs M. et Mme Dubois ces derniers me présenteraient  leurs excuses car le Jardinier leur raconterait  que j’étais innocent et j’étais victime d’une conspiration (le jardinier et sa complice la cuisinière auraient caché la montre d’or dans mes affaires). J’accepterais  volontairement leurs excuses et nous deviendrions des amis, je ne pourrais  jamais oublier les beaux jours que j’aurais  passés chez eux ce serait  une famille généreuse, agréable.

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