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Sagot :
Introduction :
La fiction est, par définition une histoire fondée sur des faits inventés, fruit de l'imagination de son créateur. Ce récit imaginaire existe depuis le Ve siècle avant Jésus Christ avec le poète Homère, écrivain de l’Iliade et de l’Odyssée et existe sous plusieurs formes notamment la littérature mais aussi le cinéma ou encore le théâtre. La fiction est présente dans la vie de chacun dès le plus jeune âge (quand les parents racontent des histoires à leurs enfants) et, par la suite, dans la vie de tous les jours grâce aux lectures personnelles et a pour but de forger la vision sur la vie et d'amener une certaine réflexion sur soi-même.Dans une fiction, tous les composants étant inventés, il faut que l'auteur arrive à convaincre et pour ce faire, celui-ci va utiliser des arguments pour provoquer l'illusion du réel d'une part et pour inviter à réfléchir d'une autre.
Problématique :
Ce qui nous mène à la problématique suivante : En quoi une argumentation s'appuyant sur la fiction peut-elle amener la réflexion ? Et quel est son but ?
Annonce du plan :
Ainsi nous verrons que le choix du créateur est un ingrédient dans l'idée qu'il souhaite véhiculer, ensuite, que l'évasion du lecteur en permet une meilleure compréhension et enfin que la fiction est une bonne manière de faire passer un message.
PARTIE I :
Depuis la naissance des premières civilisations l'Homme a aimé raconter des histoires, parfois conter des faits ou encore en imaginer en gardant comme objectif de plaire à son public. Dans ces récits les auteurs commencent par choisir un thème sur lequel ils souhaitent travailler, généralement un sujet d'actualité pour toucher un public le plus large possible ou alors quelque chose lui tenant à cœur. Dans chaque cas, ces derniers ont une forte inspiration et arrivent mieux à créer l'environnement dans lequel les personnages évolueront et à le rendre plus réel. Par exemple, à la veille de la Seconde Guerre Mondiale, Jean Giraudoux publie la pièce de théâtre La Guerre de Troie n'aura pas lieupour persuader que l'environnement tendu qui règne à cette époque ne dégénérera pas , Pour cela, il utilise des personnages de la mythologie grecque pour véhiculer l'idée qu'il souhaite faire passer.
L'essentiel des histoires faisant appel à la fiction repose essentiellement sur lafiabilité de l'argument ainsi que sur l'illusion de réel donné par le conte. En effet, si le public n'est pas convaincu par un de ces piliers l’œuvre ne sera d'aucune utilité. C'est pourquoi l'utilisation de personnages existant déjà (ou ayant vécu) est souvent retrouvée comme chez Jean Anouilh, où les personnages d'Antigone sont directement tirés de la mythologie grecque, également.
Une fois le travail sur personnages réalisé, il reste au créateur d'adapter son argumentation à la réflexion du public pour que celui-ci trouve l'utilité de la fiction et pour cela, l'auteur doit veiller à ne pas ennuyer le lecteur c'est pourquoi il peut jouer de plusieurs outils. Par exemple dans ce corpus, les genres sont variés : Le discours au mort d'Hector dans La Guerre de Troie n'aura pas lieu a des tendances lyriques, l'article « Guerre » de Voltaire raisonne plutôt comme philosophique et réaliste et le dessin de Plantu es humoristique. Le créateur peut également adapter les situations et, de cette manière choisir le but de son œuvre (dénoncer, exposer ou encore faire rire) et donc diriger la réflexion du public sur ce que l'histoire dégage.
Transition :
Si toutes ces techniques sont mises en œuvre c'est d'une part pour diriger le public mais également pour lui plaire. En effet celui-ci peut donc choisir le thème et le genre de l’œuvre qu'il va consulter.
PARTIE II :
Une fois ces caractères choisis, un lecteur réussira mieux à s'intégrer dans le livre et commencera a trouver des ressemblances entre lui et un personnage ou réussira à faire des assimilations à des lieux ou d'autres personnes qu'il connaît. Le choix du « clan » se fait également, il préfère un personnage à un autre par son caractère moral ou même physique, facilitant la compréhension. D'autant plus que, généralement, les personnages « bons » sont porteurs des meilleurs conseils et des meilleurs messages.
Dans les récits imaginaires, on retrouve également la présence de lieux créés de toute pièce ce qui donne aux lecteurs une sensation de voyage et de découverte. Ces derniers cherchent à en savoir le plus possible et sont donc poussés à imaginer et à rêver. Par exemple, dans la saga Harry Potter de J.K Rowling l'école de Poudlard et ses alentours laisse à imaginer, chacun à sa façon, les parties les moins explicitées. On se retrouve donc inconsciemment dans un monde d'une part décrit et qui est irréel mais d'une autre dans une imagination qui va encore plus loin que ce qui est dit.
N'ayant pas assez de place, le reste de la dissertation est dans le fichier ci-joint.
La fiction est, par définition une histoire fondée sur des faits inventés, fruit de l'imagination de son créateur. Ce récit imaginaire existe depuis le Ve siècle avant Jésus Christ avec le poète Homère, écrivain de l’Iliade et de l’Odyssée et existe sous plusieurs formes notamment la littérature mais aussi le cinéma ou encore le théâtre. La fiction est présente dans la vie de chacun dès le plus jeune âge (quand les parents racontent des histoires à leurs enfants) et, par la suite, dans la vie de tous les jours grâce aux lectures personnelles et a pour but de forger la vision sur la vie et d'amener une certaine réflexion sur soi-même.Dans une fiction, tous les composants étant inventés, il faut que l'auteur arrive à convaincre et pour ce faire, celui-ci va utiliser des arguments pour provoquer l'illusion du réel d'une part et pour inviter à réfléchir d'une autre.
Problématique :
Ce qui nous mène à la problématique suivante : En quoi une argumentation s'appuyant sur la fiction peut-elle amener la réflexion ? Et quel est son but ?
Annonce du plan :
Ainsi nous verrons que le choix du créateur est un ingrédient dans l'idée qu'il souhaite véhiculer, ensuite, que l'évasion du lecteur en permet une meilleure compréhension et enfin que la fiction est une bonne manière de faire passer un message.
PARTIE I :
Depuis la naissance des premières civilisations l'Homme a aimé raconter des histoires, parfois conter des faits ou encore en imaginer en gardant comme objectif de plaire à son public. Dans ces récits les auteurs commencent par choisir un thème sur lequel ils souhaitent travailler, généralement un sujet d'actualité pour toucher un public le plus large possible ou alors quelque chose lui tenant à cœur. Dans chaque cas, ces derniers ont une forte inspiration et arrivent mieux à créer l'environnement dans lequel les personnages évolueront et à le rendre plus réel. Par exemple, à la veille de la Seconde Guerre Mondiale, Jean Giraudoux publie la pièce de théâtre La Guerre de Troie n'aura pas lieupour persuader que l'environnement tendu qui règne à cette époque ne dégénérera pas , Pour cela, il utilise des personnages de la mythologie grecque pour véhiculer l'idée qu'il souhaite faire passer.
L'essentiel des histoires faisant appel à la fiction repose essentiellement sur lafiabilité de l'argument ainsi que sur l'illusion de réel donné par le conte. En effet, si le public n'est pas convaincu par un de ces piliers l’œuvre ne sera d'aucune utilité. C'est pourquoi l'utilisation de personnages existant déjà (ou ayant vécu) est souvent retrouvée comme chez Jean Anouilh, où les personnages d'Antigone sont directement tirés de la mythologie grecque, également.
Une fois le travail sur personnages réalisé, il reste au créateur d'adapter son argumentation à la réflexion du public pour que celui-ci trouve l'utilité de la fiction et pour cela, l'auteur doit veiller à ne pas ennuyer le lecteur c'est pourquoi il peut jouer de plusieurs outils. Par exemple dans ce corpus, les genres sont variés : Le discours au mort d'Hector dans La Guerre de Troie n'aura pas lieu a des tendances lyriques, l'article « Guerre » de Voltaire raisonne plutôt comme philosophique et réaliste et le dessin de Plantu es humoristique. Le créateur peut également adapter les situations et, de cette manière choisir le but de son œuvre (dénoncer, exposer ou encore faire rire) et donc diriger la réflexion du public sur ce que l'histoire dégage.
Transition :
Si toutes ces techniques sont mises en œuvre c'est d'une part pour diriger le public mais également pour lui plaire. En effet celui-ci peut donc choisir le thème et le genre de l’œuvre qu'il va consulter.
PARTIE II :
Une fois ces caractères choisis, un lecteur réussira mieux à s'intégrer dans le livre et commencera a trouver des ressemblances entre lui et un personnage ou réussira à faire des assimilations à des lieux ou d'autres personnes qu'il connaît. Le choix du « clan » se fait également, il préfère un personnage à un autre par son caractère moral ou même physique, facilitant la compréhension. D'autant plus que, généralement, les personnages « bons » sont porteurs des meilleurs conseils et des meilleurs messages.
Dans les récits imaginaires, on retrouve également la présence de lieux créés de toute pièce ce qui donne aux lecteurs une sensation de voyage et de découverte. Ces derniers cherchent à en savoir le plus possible et sont donc poussés à imaginer et à rêver. Par exemple, dans la saga Harry Potter de J.K Rowling l'école de Poudlard et ses alentours laisse à imaginer, chacun à sa façon, les parties les moins explicitées. On se retrouve donc inconsciemment dans un monde d'une part décrit et qui est irréel mais d'une autre dans une imagination qui va encore plus loin que ce qui est dit.
N'ayant pas assez de place, le reste de la dissertation est dans le fichier ci-joint.
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