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Bonjour quelqu'un pourrait m'aider à répondre à ces questions s'il vous plaît.

Le texte est en pièce jointe,
voici les questions:

1.Quel est le ton de ce texte? justifiez votre réponse à deux exemples du texte que vous expliquerez.

2.Quelle image est donnée de l'imagination enfantin?
Développez votre réponse en vous appuyant sur l'ensemble du texte.

3.a.Relevez les deux occurrences du mot 《mur》dans l'extrait: a votre avis, que représente ce mur pour la narratrice?

b.Commentez la dernière phrase du texte《je me dis curé sur le mur》.

Merci au personnes qui m'aideront.

Bonjour Quelquun Pourrait Maider À Répondre À Ces Questions Sil Vous PlaîtLe Texte Est En Pièce Jointevoici Les Questions1Quel Est Le Ton De Ce Texte Justifiez class=

Sagot :

Réponse :

) ce texte appartient au genre de l'autobiographie, l'auteur raconte son enfance, sa vie.

2) le mot qui es tombé dans l'oreile de la narratrice est le mot presbytère, il lui semble mystèrieux car elle n'en connait pas le sens réel et que c'est un mot un peu long pour un petit enfant.

3)a) autour de ce mot, la narratrice développe l'imaginaire de son propre monde, où elle retrouve ses personnages " a des ennemis imaginaires " (l.12)

b) l'imparfait a des valeurs narratives c'est pourquoi la narratrice l'emploie.

c) le mot evolue dans l'esprit de la petite fille, " petit à petit le mot perdit de son venin " (l.13), de facon à le rendre non violent, et tout aussi intéressant car il devient un mot savant !

4) La narratrice apprend le véritable sens de ce mot dans des conséquences tout à fait normales pour enfant qui, tout fier de sa découvertes, veut en informer sa mère. En effet, colette arrive et dit à sa mère " Maman ! regarde le joli petit presbytère que j'ai trouvé ! " (l.18). Evidemment, la narratrice ne souhaitait pas perdre son précieux mot, " je me tus trop tard " (l.21) elle parle même de "ma déception " (l.35).

6) a)La narratrice veut lutter contre l’effondrement d'un bout de son monde imaginaire, en effet, le mot qu'elle gardait précieusement depuis longtemps, autour duquel elle a construit un bout de ses histoires, elle ne veut pas le perdre. Elle parle d'effraction car elle a le sentiment qu'on lui a volé son monde, que sa mère lui a volé ce sur quoi reposait son imagination à ce moment là.

b) les lambeaux sont des pans de tissu déchirés, on dit souvent des vètements déchirés qu'ils sont en "lambeaux". L'emploi de ce mot montre à quel point cette réveletion a anéanti la narratrice,  quel point son monde , son "extravagance" (l.29) comme elle dit, est dévasté.

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