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Document 1. lettre de poilus.
Vendon, 15 juillet 1916. 4 heures de soir
Mes cher parents
des encore vivant et en bonne santé, pas même blessé alors que tous mes camarades som tombes morts, our blessés aux mains des do-
Grandi nous ont fait souffrir les milie hormetus, liquides centra mes saz lacrymogènes - gaz suffocants aspleyxzames, attaques. Ah!
demais redescendu de premiere ligne ce matin Je ne suis qu'un bloc de boue et j'ai dû faire racier mes vêtements avec un couteau car je ne
La mort sous un tir de barrage inout. Je tombe de fatigue. Je vais me coucher, au repos dans
un village à l'armere où cela cogne copen-
dant, voilà dix muits que je passe en première ligne. Demain les autos emmènent le reste de mon régiment pour le reformer à l'amere, je ne
sommeil, je suis plein de poux, je pue la charogne des marchabécs** Je vous écrirai dès que je vais pouvoir Soyez donc tranquilles
sais encore ou
3
éte donne
J'espère
I c gros coup
Bonne santé, at je vous embrasse bien affectueusement
Georges Gallois
• Boches: Allemands. ** Maochabées : morts.
Exercice 3. Etude de documents.
1) Présentez corectament o document.
2) Situez le contexte historique de ce document
3) Relevez dans le texte les éléments qui montrent la violence des combats
4) Relevez les éléments qui montrent la difficile vie quotidienne des soldats​

Sagot :

1.Ce document est une lettre qu'un poilu a écrit à Verdun le 15 juillet 1916 à 4h du soir pour ses parents.

2. je ne sais pas

3."des do-

Grandi nous ont fait souffrir les milie hormetus, liquides centra mes saz lacrymogènes - gaz suffocants aspleyxzames, attaques. Ah!" je comprends pas ce qu'il y a écrit je pense qu'il manque des mots mais on peut voir qu'il souffre à cause de gazs.

4.il dit "Je ne suis qu'un bloc de boue et j'ai dû faire racier mes vêtements avec un couteau car je ne" je pense qu'il manque des mots aussi sur cette phrase mais je sais que leur quotidien est difficile, comme le dit la phrase que j'ai cité il s'arrache des vêtements pour se soigner, la vie dans les tranchées où il y a plein de boues mais aussi leur compagnons qui meurent.

Coucou
Alors sur la photo est montrer (ce qui est surligné en jaune) les souffrances qu’endure le poilu au quotidien et ce qui symbolise la violence et l’horreur des combats.

Il s’agit de la lettre d’un poilu, un officier combattant dans les tranchés à Verdun en 1916 qui écrit à ses parents.

Cette lettre est écrite pendant la 1 ère guerre mondiale (1914-1918) dans la bataille de Verdun en 1916.
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