Réponse :
Ce coin secret de la vallée de Rees ressemble à un monde loin de la bulle touristique du saut à l'élastique de Queenstown - mais nous ne sommes qu'à une heure de route au nord. Arno me dit que 99,9% des gens qui ont été dans cette vallée n'ont pas vu cet endroit, «parce qu'on ne peut pas arriver sans bateau
Le but est de passer la première journée à marcher (ou à faire du tramping comme l'appellent les Kiwis) à 13 km dans la brousse, à installer le camp, puis à utiliser nos packrafts pour revenir par la rivière. Mon sac à dos contient 20 kg de tente, réchaud, nourriture, vêtements chauds, combinaison et mon arme secrète: plié dans un sac de la taille d'un oreiller et pesant un peu plus de 2 kg, mon packraft.
Bientôt, nous allons faire la première de nombreuses traversées de rivières, pataugeant dans des eaux rapides et jusqu'aux genoux. «Les randonneurs considéraient ces rivières comme une barrière, mais avec les embarcations, les rivières et les lacs font partie du voyage et ouvrent de nouveaux endroits.».
Dans un sac à dos, sans la distraction d'un sac à dos lourd et des pieds fatigués, vous pouvez vous allonger et simplement sentir un endroit pendant qu'il dérive. Je le vois avec un regard neuf. Nous suivons Arno comme des canetons aux couleurs vives qui poursuivent leur mère. Parfois, nous devons transporter nos bateaux autour de bois tombés ou de sections peu profondes - mais l'eau prend rapidement de l'ampleur, et nous aussi. La panique se transforme en plaisir alors que je rebondis sur des rapides éclaboussants, des courses d'adrénaline. Et c'est d'autant plus excitant que nous voyons des parties de la Nouvelle-Zélande que la plupart des touristes ne peuvent pas voir
Explications :
voila ce n est pas du google traductuction
