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S’il vous plaît pouvez vous m'aider a embellir ce texte qui je l’avoue na pas vraiment de sens :-(

Voir message du dessous pour les consignes (il ne me manquer que quelque caractère :-/)

J’espère que vous comprendrez et que vous pourrez m'aider au mieu !

Voila le texte:

Je m’appelle Michael Lynch ancien soldat Australien de la guerre de Formelles, du moins ce qui reste de moi, Je repose en paix aux ciels avec conscience tranquille mais j’ai souhaité me glissez parmi vos deux yeux écarquiller dans votre sommeille le plus profond pour vous compter comment je suis mort et comment on ma reconnue, il en est en tout point une longue mésaventure. Laisser moi dont vous racontez...

A la nuit du juillet 1916, il était encore paysage sanglant dans les tranchées boueuse causée par la pluie capricieuse du matin. Il y régner encore sanglot et coups de feu incessant, les balle pleuvaient encore par millier. Ont étaient tous prêt et aguerrie fasse au tir ennemi, j’étais brancardier du rang de 60 -ème infanterie. Et le sanglot et la vitesse des balle était pour moi ma plus grande frayeur. Je me rappelais encore lorsque les camarades déboulés parfois de bale qui les transpercer à la chaire jusqu’aux os, et le peut nombreux blessait ayant était sauver par ma main tremblante de peur, les récitals que j’écrivais assis sur la terre encore humide lors des moments de courts répits était pour moi l’espoir que ma femme le lise. Lorsque les bruits s’arrêtèrent pendant de courts instants, je sortais des trous je rangeais mes ampoules de désinfection et je me mis avec mon camarade d’infanterie Rufus et moi à courir dans la boue marécageuse des tranchées et des odeurs de putréfactions des membres de soldats étant inatteignable sans être à la merci des balles de l’ennemie. Lorsque je vis un camarade au loin supplier à l’aide de douleur, j’indiqua de le rejoindre mais nous ne pouvions plus résister à
courir avant qu’il ne soit trop tard et que la mort l’emporte. Finissant par arriver au bout de la tranchée nous l’avions ramassé, il semblait confus et abasourdit et la mort semblait l’appeler, il avait le manteau couvert de boue, les moins moite couvert de poussières et la peau déchiqueter au niveau de l'humérus mais le temp étant de mèche, nous ne perdîmes pas de temp et nous avions placé le soldat sur le brancard et nous nous remirent rapidement à recourir que nous commencions à peine à entendre les balles retentir a nouveaux que de nouvelle victime n’échapperaient pas à de nouvelles pertes. Mais la boue déjà très glissante avait emporté mes pieds et m’avait emporté sur les bords de la tranchée noirâtre, lorsque que j’essaya de me relever, il était déjà trop tard, je vis ma vie défilée lorsque je vis la balle atteindre mes yeux je sortie de mon dernier souffle et retombant au sol portant une larme aux yeux en pensant et serrant très fort le médaillions seuls souvenirs que je garde de ma mère dont j’avais gravé son nom et qui était laisser déceler dans ma main la goute cristallines. En voyant mon camarade d’infanterie me tirant de toute ses forces et en implorant à l’aide pour qu’on l’aide à porter les deux corps impossibles à sauver j’aperçu la mort venue me chercher de plus en plus proche pour ne finir qu’à ne plus rien voir et je m’effondrais les yeux écluser sous les yeux de mes camarades. Me rappelant de mon engagement volontaire pour aider les alliées peu importe le chemin qui il y avait à faire, J’étais prêt à desservir mon aide. N’ayant aucun but précis mon âmes erra longtemps sans butte et pensa être oubliée par ces prochains. Jusqu’au jour où l’on m’avait déplanté de terre os par os par un archéologue de nombreuse personnes m ’étudièrent, de l’historien et du traducteur au généticien tous avait pour but de me ramener chez moi au ciel. L’historien et le traducteur m’avait enfin redonné mon nom à partir de mon médaillions ainsi que la photo de ma femme, il avait retrouvé pas loin de moi ce qui s’apparenter à mes récitals presque décomposer mais dont la tranche du livre était encore lisible. Il avait également retrouvé mon badge Soleil le vent peut reconnaissable mais avec quelque lettre apparente, Ont Parvient à reconstituer, patiemment, la généalogie descendante de moi-même. Ma famille a pu retrouver mes écris et toutes les choses qui me composait. Les départements sur lesquels a serpenté la ligne de front sont aujourd’hui parsemés de cimetières de nombreuses nationalités, dont mon âme de Soldat est maintenant reposante dans une tombe, ouvrant une porte de liberté sans se soucier d’être oublié après mon identification je peux reposer en paix. Ma descendance se souviendra que j’ai existé et que j’ai était présent et cette histoire restera graver même si je deviens poussière. Ici prend fin mon témoignage de l’au-delà, je n’ai plus qu’à m’envoler dans le ciel pour reposer éternellement.

(PS y'a til moyen de rendre mon texte tout aussi cour tout en le rendant génial a lire ^^)
Avec toute ma considération, Cordialement Bidena :-)

Sagot :

malts

Réponse:

Je m’appelle Michael Lynch ancien soldat Australien de la guerre de Formelles, du moins ce qui reste de moi.

Je repose en paix aux ciels avec conscience tranquille, mais j’ai souhaité me glisser parmi vos deux yeux écarquillés dans votre sommeil le plus profond pour vous racompter comment je suis mort et comment on m'a reconnue, il en est en tout point une longue mésaventure. Laisser moi donc tout vous raconter...

À la nuit du juillet 1916, il était encore paysage sanglant dans les tranchées boueuses causé par la pluie capricieuse du matin. Il y régnait encore sanglot et coups de feu incessant, les balles pleuvaient encore par millier. Ont étaient tous prêt et aguerrie fasse au tir ennemi, j’étais brancardier du rang de 60 -ème infanterie. Et le sanglot et la vitesse des balles était pour moi ma plus grande frayeur. Je me rappelais encore lorsque mes camarades [déboulaient] parfois de balles qui les transperçait à la chaire jusqu’aux os, et le peu de nombreux blessés ayant été sauvés par ma main tremblante de peur, les récitals que j’écrivais assis sur la terre encore humide lors des moments de courts répits était pour moi l’espoir que ma femme me lise. Lorsque les bruits s’arrêtèrent pendant un court instant, je sortais des tranchées je rangeais mes ampoules de désinfection et je me mis avec mon camarade d’infanterie, Rufus à courir dans la boue marécageuse des tranchées et des odeurs de putréfactions des membres de soldats étant inatteignable sans être à la merci des balles de l’ennemie. Lorsque je vis un camarade au loin supplier à l’aide de douleur, j’indiqua de le rejoindre mais nous ne pouvions plus résister à

courir avant qu’il ne soit trop tard et que la mort l’emporte. Finissant par arriver au bout de la tranchée nous l’avions ramassé, il semblait confus et abasourdit et la mort semblait l’appeler, il avait le manteau couvert de boue, les mains moitent couvert de poussières et la peau déchiqueter au niveau de l'humérus mais le temp étant de mèche, nous ne perdîmes pas de temps et nous avions placés le soldat sur le brancard et nous nous remirent rapidement à recourir que nous commencions à peine à entendre les balles retentir à nouveaux que de nouvelles victimes [n’échapèrent] pas à de nouvelles pertes. Mais la boue déjà très glissante avait emporté mes pieds et m’avait emporté sur les bords de la tranchée noirâtre.

Lorsque que j’essaya de me relever, il était déjà trop tard, je vis ma vie défilée lorsque je vis la balle atteindre mes yeux je sortie mon dernier souffle et retombant au sol portant une larme aux yeux en pensant et serrant très fort le médaillions seul souvenir que je gardais de ma mère dont j’avais gravé son nom et qui était [laisser déceler] dans ma main la goute cristalline. En voyant mon camarade d’infanterie me tirant de toute ses forces et en implorant à l’aide pour qu’on l’aide à porter les deux corps impossibles à sauver j’aperçu la mort venu me chercher de plus en plus proche pour ne finir qu’à ne plus rien voir et je m’effondrais les yeux écluser sous les yeux de mes camarades. Me rappelant de mon engagement volontaire pour aider les alliées peu importe le chemin qui il y avait à faire, J’étais prêt à desservir mon aide. N’ayant aucun but précis mon âmes erra longtemps sans butte et pensa être oublié par ces prochains. Jusqu’au jour où l’on m’avait déplanté de terre os par os par un archéologue de nombreuse personnes m ’étudièrent, de l’historien et du traducteur au généticien tous avaient pour but de me ramener chez moi au ciel. L’historien et le traducteur m’avaient enfin redonné mon nom à partir de mon médaillions ainsi que la photo de ma femme, ils avaientt retrouvés pas loin de moi ce qui [s’apparenter] à mes récitals presque décomposer mais dont la tranche du livre était encore lisible. Il avait également retrouvé mon badge Soleil le vent peut reconnaissable mais avec quelque lettre apparente, On Parvient à me reconstituer, patiemment, la généalogie descendante de moi-même. Ma famille a retrouver mes écris et toutes les choses qui me composait. Les départements sur lesquels a serpenté la ligne de front sont aujourd’hui parsemés de cimetières de nombreuses nationalités, dont mon âme de Soldat est maintenant reposante dans une tombe, ouvrant une porte de liberté sans se soucier d’être oublié après mon identification je peux reposer en paix.

Ma descendance se souviendra que j’ai existé et que j’ai été présent et cette histoire restera à jamais gravée même si je deviens poussière. Ici prend fin mon témoignage de l’au-delà, je n’ai plus qu’à m’envoler dans le ciel pour reposer éternellement.

Explications:

C'est Un beau texte, j'adore la fin mais il y a des fautes d'orthographes que j'ai corrigée en gras, ce que j'ai rajoutée est en gras aussi.

Par contre il y a des choses que j'ai pas compris que j'ai mis entre croche [ ].