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Bonjour !
Pourriez-vous me dire si mon paragraphe est parfait ou pas, si il y a des choses à rajouter, ou si vous avez d'autres idées de paragraphe SVP, c'est la première fois que je fais un paragraphe de commentaire de texte...

La consigne:
Rédigez un paragraphe argumenté, du poème "Nous allions au verger", de Victor Hugo, qui prouve l'idée suivante: le poète décrit une scène érotique.

Le poème:
Nous allions au verger cueillir des bigarreaux.
Avec ses beaux bras blancs en marbre de Paros
Elle montait dans l'arbre et courbait une branche ;
Les feuilles frissonnaient au vent ; sa gorge blanche,
Ô Virgile, ondoyait dans l'ombre et le soleil ;
Ses petits doigts allaient chercher le fruit vermeil,
Semblable au feu qu'on voit dans le buisson qui flambe.
Je montais derrière elle ; elle montrait sa jambe,
Et disait : "Taisez-vous !" à mes regards ardents ;
Et chantait. Par moments, entre ses belles dents,
Pareille, aux chansons près, à Diane farouche,
Penchée, elle m'offrait la cerise à sa bouche ;
Et ma bouche riait, et venait s'y poser,
Et laissait la cerise et prenait le baiser.

Mon paragraphe:

Dans le poème « Nous allions au verger », Victor Hugo nous dévoile et nous décrit une scène érotique, du grec « eros », qui signifie désir physique. En effet, l’auteur emploie des mots appartenant au champs lexical du frémissement et de la chaleur. Nous pouvons voir que « courbait » (vers 3), « frissonnaient » (vers 4), « ondoyait » (vers 5) et « flambe » (vers 7) appartiennent au champs lexical du frémissement et que « le soleil » (vers 5), « vermeil » (vers 6), « feu » (vers 7), « flambe » (vers 7) et « ardents » (vers 9) appartiennent au champs lexical de la chaleur. La chaleur et le frémissement font allusion à la sensualité, et par conséquent, à l’érotisme.
De plus, Victor Hugo décrit la femme dans le poème très précisément. En effet, il énnonce qu’elle a « [des] beaux bras blancs en marbre de Paros » (vers 2), « [une] gorge blanche » (vers 4), « [des] petits doigts », qu’elle dévoilait, « sa jambe » (vers 8), « ses belles dents » (vers 10) et « sa bouche » (vers 12). L’auteur commence par décrire les « bras » de la femme, en passant par ses « jambes », pour finir sur « ses dents » ou encore, par « sa bouche ». Il y a un effet de zoom à travers cette description, comme si Victor Hugo se focalisait de plus en plus sur cette femme. Plus il la regarde, plus il la décrit dans les moindres détails, et par conséquent, il la désir.

Merci infiniment :) !
PS: Je suis en 1ere generale

Sagot :

Non jaime beaucoup! C’est très bien écrit bravo
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