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Sagot :
Hewo! èwé
{rédiger son portrait}
on vas dire que ton "petit frère"
Mon petit frère est brun au yeux bleu il est petit à 6ans et il s'appelle Alec.
{faut écrive des moments émouvants passés avec Ton "petit frère"}
-n- alors la je sais pas on vas dire que..
je suis parti en voyage avec ma famille, Alec et moi on a passer de très beau moment on c'est amuser il voulait vraiment un poisson rouge donc je lui est acheter un sa ma fait vraiment plaisirs de le voir heureux; il ma fait un bisous sur la joue c'étais trop mignon^^.
:-: j'avais pas d'idée.
bon j'espère que sa ta aider^^
« Des yeux bleus perçants, une peau d’albâtre au teint presque incandescent tant il rayonnait, jurant fortement avec ses cheveux d’ébène redescendant en une cascade de boucles sur son crâne. Ses yeux saphirs brillaient d’une pointe de malice et il avait un sourire mutin qui s’accordait parfaitement avec ses traits espiègles de lutin. C’était ainsi que l’on pouvait représenter mon petit frère »
« Les plaisirs tirés de la joie et de la bonne humeur sont toujours les plus importants et les plus émouvants. Ils confient à notre corps une sensation de bien-être et d’envie, un sentiment qui nous demande de faire en sorte que jamais cela ne s’arrête. Moi aussi, à ce moment-là, c’était tout ce que je désirais »
« Les heures passées dans la voiture avaient semblé interminables. Nous étions impatients et surexcités, pourtant, cela ne suffit pas à faire passer le trajet qui semblait, au contraire, se rallonger au fur et à mesure que nous nous impatientons. »
« Ma mère arrêta enfin la voiture. Mon frère et moi nous détachâmes, impatients d’enfin pouvoir profiter comme il se le devait de nos vacances. »
« Nous avons encore dû patienter, le temps de déplacer dans l’hôtel tous nos bagages et choisir nos lits. Notre mère ferma alors la porte de notre chambre d’hôtel et nous nous empressâmes de dévaler les quelques mètres qui nous séparaient de l’ascenseur en courant. »
« Ma mère fit appuyer mon frère sur le bouton qui nous mena jusqu’au rez-de-chaussée et, l’ascenseur enfin arrêté, nous partîmes en courant vers la voiture, pressant notre pauvre mère dont les rides ressortaient à cause de la fatigue provoquée par la concentration lors du trajet. Elle se rua tout de même vers nous et démarra la voiture, nous faisant traverser les rues bondées de monde regorgeantes de couleurs et de vie »
« Quand elle arrêta la voiture pour la seconde fois, elle nous pris par la main et nous emmena remonter la rue pavée jusqu’à arriver en haut de la place, où un petit muret nous attendait. Là-bas, des escaliers de bois nous attendaient. Nous les dévalâmes et bientôt, nos pieds nus s’enfoncèrent dans des grains doux, chauds et satisfaisants. »
« Des mégots de cigarette s’entremêlaient au sable, complétés par des débris de verre souvent verts, le sable nous brûlait les pieds et le soleil tapait dans notre dos avec tant de force que nous aurions pu en tomber. Mais pour rien au monde je n’aurais voulu changer ce moment. Mon frère regardait la mer aller et venir, s’échouer puis se retirer avec une telle concentration et une telle satisfaction que j’en fis immédiatement conquise. Il me faisait apprécier cet endroit oppressé par le monde et ternit par l’irrespect de l’homme envers la nature. Parce qu’il n’avait jamais été aussi heureux. Mon frère avait enfin découvert la plage. Ses traits mutins s’étaient métamorphosés en une expression traduite par le bonheur. Ses boucles de jais volaient dans le vent de la brise marine et brillaient au soleil. Sa peau blanchâtre commençait déjà à rougir sous le soleil. Mais il restait le même : un petit lutin désireux de connaître le monde et de semer le bonheur et la joie autour de lui. Cette fois, il avait réussi, il avait fait naître en moi une impression de bonheur procurée par son propre bonheur. Cette plage restera à jamais mon meilleur souvenir, car j’ai assisté à son sourire. Et je suis heureuse que ce soit ce moment là que j’ai décidé de retenir. »
« Les plaisirs tirés de la joie et de la bonne humeur sont toujours les plus importants et les plus émouvants. Ils confient à notre corps une sensation de bien-être et d’envie, un sentiment qui nous demande de faire en sorte que jamais cela ne s’arrête. Moi aussi, à ce moment-là, c’était tout ce que je désirais »
« Les heures passées dans la voiture avaient semblé interminables. Nous étions impatients et surexcités, pourtant, cela ne suffit pas à faire passer le trajet qui semblait, au contraire, se rallonger au fur et à mesure que nous nous impatientons. »
« Ma mère arrêta enfin la voiture. Mon frère et moi nous détachâmes, impatients d’enfin pouvoir profiter comme il se le devait de nos vacances. »
« Nous avons encore dû patienter, le temps de déplacer dans l’hôtel tous nos bagages et choisir nos lits. Notre mère ferma alors la porte de notre chambre d’hôtel et nous nous empressâmes de dévaler les quelques mètres qui nous séparaient de l’ascenseur en courant. »
« Ma mère fit appuyer mon frère sur le bouton qui nous mena jusqu’au rez-de-chaussée et, l’ascenseur enfin arrêté, nous partîmes en courant vers la voiture, pressant notre pauvre mère dont les rides ressortaient à cause de la fatigue provoquée par la concentration lors du trajet. Elle se rua tout de même vers nous et démarra la voiture, nous faisant traverser les rues bondées de monde regorgeantes de couleurs et de vie »
« Quand elle arrêta la voiture pour la seconde fois, elle nous pris par la main et nous emmena remonter la rue pavée jusqu’à arriver en haut de la place, où un petit muret nous attendait. Là-bas, des escaliers de bois nous attendaient. Nous les dévalâmes et bientôt, nos pieds nus s’enfoncèrent dans des grains doux, chauds et satisfaisants. »
« Des mégots de cigarette s’entremêlaient au sable, complétés par des débris de verre souvent verts, le sable nous brûlait les pieds et le soleil tapait dans notre dos avec tant de force que nous aurions pu en tomber. Mais pour rien au monde je n’aurais voulu changer ce moment. Mon frère regardait la mer aller et venir, s’échouer puis se retirer avec une telle concentration et une telle satisfaction que j’en fis immédiatement conquise. Il me faisait apprécier cet endroit oppressé par le monde et ternit par l’irrespect de l’homme envers la nature. Parce qu’il n’avait jamais été aussi heureux. Mon frère avait enfin découvert la plage. Ses traits mutins s’étaient métamorphosés en une expression traduite par le bonheur. Ses boucles de jais volaient dans le vent de la brise marine et brillaient au soleil. Sa peau blanchâtre commençait déjà à rougir sous le soleil. Mais il restait le même : un petit lutin désireux de connaître le monde et de semer le bonheur et la joie autour de lui. Cette fois, il avait réussi, il avait fait naître en moi une impression de bonheur procurée par son propre bonheur. Cette plage restera à jamais mon meilleur souvenir, car j’ai assisté à son sourire. Et je suis heureuse que ce soit ce moment là que j’ai décidé de retenir. »
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