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bonjour qui peut m'aidez il y dix faute d'orthographe

Vous êtes au bord de l’océan.
Autrefois il y avait une ville ici. Des gens. Une civilisation. Il n’en reste aucune trace.
Il paraît que les habitations les plus proche de l’eau étaient souvent les moins solide : construites en bois et en terre, elles ont été pulvérisées par la vague. Pas aplaties ou démantelées, mais changées instantanément en un nuage de poussière, une écume de boue, comme volatilisées. Il est vrai que les maisons de béton construites un peu plus loin n’ont pas résisté non plus, cependant les dégâts qu’elles ont subis étaient plus imaginables : elles s’effondraient, se brisait sous le choc, se faisaient éventré par tout ce que charriait la vague, bateaux, camions, wagons, débris des maisons voisines. Les immeubles eux-mêmes, un peu plus loin, se décharnaient de leur panneaux de préfabrication lourde qui s’arrachaient comme des feuilles de papier qu’auraient déchirés la main invisible d’un géant, jusqu’à ce que leur ossature d’acier a son tour plie et se déforme, se torde, se mette à ondulée, soudain molle et plastique.
Il y a un arbre qui a tenu le coup, sans doute parce que ses racines étaient plus profondes que les fondations que construisaient les hommes de cette côte. C’est un vieil arbre. Il est tout seul maintenant et il va sans doute mourir parce que le niveau de l’eau est monté après sa, et qu’aucun arbre ne poussent dans la mer.

Sagot :

Al1ca

Réponse :

Vous êtes au bord de l’océan.

Autrefois il y avait une ville ici. Des gens. Une civilisation. Il n’en reste aucune trace.Il paraît que les habitations les plus proches de l’eau étaient souvent les moins solides : construites en bois et en terre, elles ont été pulvérisées par la vague. Pas aplaties ou démantelées, mais changées instantanément en un nuage de poussière, une écume de boue, comme volatilisée. Il est vrai que les maisons de béton construites un peu plus loin n’ont pas résisté non plus, cependant les dégâts qu’elles ont subis étaient plus imaginables : elles s’effondraient, se brisaient sous le choc, se faisaient éventrer par tout ce que charriait la vague, bateaux, camions, wagons, débris des maisons voisines. Les immeubles eux-mêmes, un peu plus loin, se décharnaient de leur panneaux de préfabrication lourde qui s’arrachaient comme des feuilles de papier qu’auraient déchirées la main invisible d’un géant, jusqu’à ce que leur ossature d’acier à son tour plie et se déforme, se tordent, se mette à onduler, soudain molle et plastique.

Il y a un arbre qui a tenu le coup, sans doute parce que ses racines étaient plus profondes que les fondations que construisaient les hommes de cette côte. C’est un vieil arbre. Il est tout seul maintenant et il va sans doute mourir parce que le niveau de l’eau est monté après sa, et qu’aucun arbre ne pousse dans la mer.

Voilà  !

Explications :

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