Réponse :
Explications :
bjr,
Les deux chevaliers s’éloignèrent sur leur monture. Gauvain baissa la visière de son heaume et …………………… piqua des deux…..vigoureusement son destrier. Son adversaire………………éperonna ……..de toute la force de ses talons. Il s’élancèrent…………à bride abattue…l’un contre l’autre. Les lances heurtèrent………… les écus ……………………..des deux combattants. Sous la violence du choc, elles se brisèrent. Ils se saisirent alors de leurs épées et ……………………………. frappèrent d’estoc et de taille. L’épée de Gauvain perça ……………… l’armure………..et déchira… la cotte de
mailles………………………du chevalier félon qui ………………… êtait à la merci ……..de Gauvain. Mais celui-ci le …………gracia …………….après avoir écouté le ……………………………… serment d’allégeance ..de son malheureux adversaire.
Même consigne que l’exercice ci- dessus.
Le vassal du roi Marc interpella le chevalier noir d’une voix forte :
« J’ai appris que vous aviez eu l’audace d’ …………occire….. un pauvre …… serf…… sur les terres de mon bien-aimé………suzerain…. Ce comportement n’est pas celui d’un noble chevalier, mais celui d’un ……………vil manant…………… ».
Le chevalier noir répondit à ces paroles …………………outrageuses……… : « Il va vous en coûter d’avoir provoqué mon ……………courroux……………………… »
