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bonsoir pouvez vous me aidez a cette execice je ne comprends pas trés bien
merci d'avance

6. Encadrez les verbes conjugués et soulignez leurs sujets. Tracez une flèche qui relie le sujet au verbe correspondant.

Jenny traversa la rue déserte. Les Hagen habitaient dans le pâté de maisons suivant.
Elle ralentit, s’efforçant de reprendre son souffle. Au carrefour se dressait une demeure basse façon ranch, plongée dans le noir. La cour envahie de feuilles mortes était entourée d’une haie broussailleuse qui n’avait pas été taillée depuis longtemps. Ce n’était pas ça.
Le vent se levait. Remontant le col de sa veste et ajustant son sac à dos, Jenny passa le
long d’une rangée d’arbres et de buissons enchevêtrés à l’extrémité de laquelle apparut une boîte à lettres : elle y lut avec soulagement le nom de Hagen.
La Baby Sitter, R. L. Stine, trad. Michelle Charrier.

7. Même consigne.

Les cultures disparaissaient, le terrain se faisait plus gras et çà et là poussaient de longues herbes grises ou de petits saules. L’air, par bouffées, sentait la vase humide.
Tout à coup devant moi s’éleva une digue. C’était un haut remblai de terre couronné de peupliers. Je le gravis et je découvris la rivière. Elle était large et coulait vers l’ouest. Gonflées par la fonte des neiges, ses eaux puissantes descendaient en entraînant des arbres. Elles étaient lourdes et grises et parfois sans raison de grands tourbillons s’y formaient qui engloutissaient une épave, arrachée en amont. Quand elles rencontraient un obstacle à leur course, elles grondaient. Sur cinq cents mètres de largeur, leur masse énorme, d’un seul bloc, s’avançait sur la rive. Au milieu, un courant plus sauvage glissait […]. Et il me parut si terrible que je frissonnai.
Henri Bosco, L’Enfant et la rivière

Sagot :

Réponse :

Bonsoir

Explications :

Je te mets en gras les verbes soulignés puis je souligne le sujet.

Jenny traversa la rue déserte. Les Hagen habitaient dans le pâté de maisons suivant.  Elle ralentit, s’efforçant de reprendre son souffle. Au carrefour se dressait une demeure basse façon ranch, plongée dans le noir. La cour envahie de feuilles mortes était entourée d’une haie broussailleuse qui n’avait pas été taillée depuis longtemps. Ce n’était pas ça.

Le vent se levait. Remontant le col de sa veste et ajustant son sac à dos, Jenny passa le  long d’une rangée d’arbres et de buissons enchevêtrés à l’extrémité de laquelle apparut une boîte à lettres : elle y lut avec soulagement le nom de Hagen.

La Baby Sitter, R. L. Stine, trad. Michelle Charrier.

Les cultures disparaissaient, le terrain se faisait plus gras et çà et là poussaient de longues herbes grises ou de petits saules. L’air, par bouffées, sentait la vase humide.

Tout à coup devant moi s’éleva une digue. C’était un haut remblai de terre couronné de peupliers. Je le gravis et je découvris la rivière. Elle était large et coulait vers l’ouest. Gonflées par la fonte des neiges, ses eaux puissantes descendaient en entraînant des arbres. Elles étaient lourdes et grises et parfois sans raison de grands tourbillons s’y formaient qui engloutissaient une épave, arrachée en amont. Quand elles rencontraient un obstacle à leur course, elles grondaient. Sur cinq cents mètres de largeur, leur masse énorme, d’un seul bloc, s’avançait sur la rive. Au milieu, un courant plus sauvage glissait […]. Et il me parut si terrible que je frissonnai.

Henri Bosco, L’Enfant et la rivière

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