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bonsoir j'ai besoin d'aide svp car je n'ai pas compris l'exercice
Réécrivez ce texte au conditionnel présent merci.
Un pauvre homme passait dans le givre et le vent.
Je cognai sur ma vitre ; il s’arrêta devant
Ma porte, que j’ouvris d’une façon civile.
Les ânes revenaient du marché de la ville,
Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.
C’était le vieux qui vit dans une niche au bas
De la montée, et rêve, attendant, solitaire,
Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,
[...] Il s’approcha du feu.
Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu,
Étalé largement sur la chaude fournaise,
Piqué de mille trous par la lueur de braise,
Couvrait l’âtre, et semblait un ciel noir étoilé.
Et, pendant qu’il séchait ce haillon désolé
D’où ruisselait la pluie et l’eau des fondrières,
Je songeais que cet homme était plein de prières,
Et je regardais, sourd à ce que nous disions,
Sa bure où je voyais des constellations.

Sagot :

Réponse :

Un pauvre homme passerait dans le givre et le vent.

Je cognerais sur ma vitre;  il s’arrêterait devant

Ma porte, que j'ouvrirais d'une façon civile.

Les ânes reviendraient du marché de la ville,

Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.

Ce serait le vieux qui vit dans une niche au bas

De la montée, et rêve, attendant, solitaire,

Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,

[...] Il s’approcherait du feu.

Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu,

Étalé largement sur la chaude fournaise,

Piqué de mille trous par la lueur de braise,

Couvrerait l’âtre, et semblerait un ciel noir étoilé.

Et, pendant qu’il sécherait ce haillon désolé

D’où ruisselerait la pluie et l’eau des fondrières,

Je songerais que cet homme serait plein de prières,

Et je regarderais, sourd à ce que nous dirions,

Sa bure où je verrais des constellations.

Explications :

Réponse :

Bonsoir

Explications :

Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait.

Un pauvre homme passerait dans le givre et le vent.

Je cognerais sur ma vitre ; il s’arrêterait devant

Ma porte, que j’ouvrirais d’une façon civile.

Les ânes reviendraient du marché de la ville,

Portant les paysans accroupis sur leurs bâts.

Ce serait le vieux qui vivrait dans une niche au bas

De la montée, et rêve, attendant, solitaire,

Un rayon du ciel triste, un liard de la terre,

[...] Il s’approcherait du feu.

Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu,

Étalé largement sur la chaude fournaise,

Piqué de mille trous par la lueur de braise,

Couvrirait l’âtre, et semblerait un ciel noir étoilé.

Et, pendant qu’il sécherait ce haillon désolé

D’où ruisseleraient la pluie et l’eau des fondrières,

Je songerais que cet homme serait plein de prières,

Et je regarderais, sourd à ce que nous dirons,

Sa bure où je verrais des constellations.