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Bonjour, j’aurais besoins d’aide svp. - Ecriture - Vos parents prennent la décision de ne pas vous publier sur leur journal. Vous les avez critiqués et ils n’ont pas accepté vos remarques. Vous leur écrivez une lettre d’une vingtaine de ligne dans laquelles vous leur expliquer en argumentant que « Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur ».

Sagot :

Réponse :

Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur. Cette phrase explique que les éloges, les compliments, n'ont de valeur seulement car les reproches existent. Si les blâmes sont interdits, alors les compliments ne sont pas si importants, si rares que si il y a la possibilité de recevoir des remarques négatives. Pour dire ça plus clairement, les choses en général perdent de leurs valeur et de leur importance quand elles arrivent systématiquement et qu'il n'y a pas de doute sur leur arrivée; en revanche la rareté de ces événements fait que quand ils arrivent, les réactions, les émotions qui y sont liées sont fortes et ces événements prennent de l'importance.

Mettons-nous en situation : Ici, si je ne peux pas, si je n'ai pas le droit entre guillemets de vous blâmer, de vous critiquer car si je le fais, j'ai le droit à des privations; si vous ne me laissez pas libre de vous reprocher des choses, alors quasiment les seules remarques que je peux vous dire doivent être possitives et vous ne trouverez pas particulièrement flatteurs les éloges que je vous ferez.

;)

Explications :