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Sagot :
Le résumé doit d'abord respecter un format de mots imposé : 400 mots plus ou moins 5 %, soit dans un intervalle de 380 à 420 mots pour la BCE, 250 mots en deux heures pour Ecricome avec un titre efficacement choisi. Il est obligatoire d'indiquer par des barres obliques les décomptes partiels, et, à la fin, le décompte total des mots. Deux points de pénalité sont infligés pour omission du décompte, plus des points de pénalité en cas de non-respect de la marge (380-420 mots). Les contractions trop longues, par leur manque de densité, parfois leur inachèvement, sont repérées par les correcteurs. À plusieurs reprises, tout au long du travail de préparation, il faut contràler le nombre de mots utilisés, sinon il sera très difficile de redresser la situation à la fin.
La contraction ne comprend ni introduction, ni conclusion ; toutefois, il est demandé au concours Ecricome d'ajouter un titre avant la contraction en 250 mots. L'épreuve obéit à une exigence de communication : il s'agit de rendre l'essentiel du message d'un texte initial, de manière claire et efficace, pour qui n'aurait pas lu ce texte. Il est impératif de redire le texte de manière nouvelle et personnelle, tout en respectant rigoureusement le sens et en dégageant l'essentiel de l'accessoire. Seul le réemploi limité de certains mots techniques est accepté. Les reprises textuelles sont exceptionnelles. Tout " copier-coller ", toute copie mécanique, tout montage de citation, tout plagiat, toute paraphrase ne livrant pas une réelle compréhension sont à bannir.
La méthode sélective peut aider à détacher des phrases clés, ce qui facilite la mise en évidence de l'essentiel, mais leur juxtaposition est pénalisée. Il est impératif de rendre l'ordre et le mouvement du texte, son fil directeur, de restituer les grandes étapes de son parcours, donc de repérer ses articulations. Parfois, le texte annonce lui-même le plan. La contraction doit rendre les liens logiques, éviter de multiplier magiquement les " donc ", " en outre "… Les rapports excluent les décalques flous du texte, les fausses logiques parfois introduites.
Le texte doit avoir été compris : la lecture initiale globale doit permettre de saisir son mouvement, sa thèse, ses arguments. Le candidat doit être attentif au domaine étudié — de quoi le texte nous parle-t-il ? S'agit-il du champ politique, économique, esthétique, social ? Même si on ne fait plus de résumé en seconde et en première, on y étudie l'argumentation, les types de plan (dialectique, critique, analytique, comparatif), les modes de raisonnement (concessif, analogique, déductif-inductif) et les types d'arguments (opinion, autorité, appel à l'expérience et à l'histoire, à la raison, à la morale).
Exprimant nettement l'essentiel, une contraction doit opérer des choix
La contraction ne comprend ni introduction, ni conclusion ; toutefois, il est demandé au concours Ecricome d'ajouter un titre avant la contraction en 250 mots. L'épreuve obéit à une exigence de communication : il s'agit de rendre l'essentiel du message d'un texte initial, de manière claire et efficace, pour qui n'aurait pas lu ce texte. Il est impératif de redire le texte de manière nouvelle et personnelle, tout en respectant rigoureusement le sens et en dégageant l'essentiel de l'accessoire. Seul le réemploi limité de certains mots techniques est accepté. Les reprises textuelles sont exceptionnelles. Tout " copier-coller ", toute copie mécanique, tout montage de citation, tout plagiat, toute paraphrase ne livrant pas une réelle compréhension sont à bannir.
La méthode sélective peut aider à détacher des phrases clés, ce qui facilite la mise en évidence de l'essentiel, mais leur juxtaposition est pénalisée. Il est impératif de rendre l'ordre et le mouvement du texte, son fil directeur, de restituer les grandes étapes de son parcours, donc de repérer ses articulations. Parfois, le texte annonce lui-même le plan. La contraction doit rendre les liens logiques, éviter de multiplier magiquement les " donc ", " en outre "… Les rapports excluent les décalques flous du texte, les fausses logiques parfois introduites.
Le texte doit avoir été compris : la lecture initiale globale doit permettre de saisir son mouvement, sa thèse, ses arguments. Le candidat doit être attentif au domaine étudié — de quoi le texte nous parle-t-il ? S'agit-il du champ politique, économique, esthétique, social ? Même si on ne fait plus de résumé en seconde et en première, on y étudie l'argumentation, les types de plan (dialectique, critique, analytique, comparatif), les modes de raisonnement (concessif, analogique, déductif-inductif) et les types d'arguments (opinion, autorité, appel à l'expérience et à l'histoire, à la raison, à la morale).
Exprimant nettement l'essentiel, une contraction doit opérer des choix
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