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Sagot :
Un homme qui
vivait avec son père âgé
Il en prenait soin comme ce dernier avait pris soin du premier en son jeune âge.
Un jour, il rencontra au marché
Une femme belle comme le jour et de son âge.
Il entreprit de la courtiser si bien qu’il l’épousa
La femme, au début, était charmante mais très vite, changea
Elle commença par changer l’intérieur, ne trouvant rien à son goût
Puis elle prit les habitudes domestiques en horreur, et les modifia
Si bien que les deux hommes, jeune et vieux, ne savaient plus où
Ils habitaient et s’ils étaient bien chez eux,
Tant ils se sentaient étrangers en leur propre demeure
La femme ne s’arrêta pas là, c’eût été trop beau
Elle se mit également à haïr son beau-père
Et exiger qu’il quittât la demeure
Le mari, quoi jusque-là très docile, n’exécuta pas ses demandes
Car après les meubles, la décoration et le beau-père,
Que restait-il à évincer ?
Mais lui, pardi, c’était logique !
Il se fâcha, tant et si bien, qu’aucune protestation n’était recevable
Sa colère était telle, qu’il était prêt à donner les coups de bâtons proportionnels.
Ainsi un homme a pour son amour grande patience
Mais devant une demande indécente, perd-t-il cette tolérance
Et c’est ainsi que notre homme préféra
Mettre à la porte sa femme effrontée
Plutôt que son père, par l’âge avancé, diminué.
Il en prenait soin comme ce dernier avait pris soin du premier en son jeune âge.
Un jour, il rencontra au marché
Une femme belle comme le jour et de son âge.
Il entreprit de la courtiser si bien qu’il l’épousa
La femme, au début, était charmante mais très vite, changea
Elle commença par changer l’intérieur, ne trouvant rien à son goût
Puis elle prit les habitudes domestiques en horreur, et les modifia
Si bien que les deux hommes, jeune et vieux, ne savaient plus où
Ils habitaient et s’ils étaient bien chez eux,
Tant ils se sentaient étrangers en leur propre demeure
La femme ne s’arrêta pas là, c’eût été trop beau
Elle se mit également à haïr son beau-père
Et exiger qu’il quittât la demeure
Le mari, quoi jusque-là très docile, n’exécuta pas ses demandes
Car après les meubles, la décoration et le beau-père,
Que restait-il à évincer ?
Mais lui, pardi, c’était logique !
Il se fâcha, tant et si bien, qu’aucune protestation n’était recevable
Sa colère était telle, qu’il était prêt à donner les coups de bâtons proportionnels.
Ainsi un homme a pour son amour grande patience
Mais devant une demande indécente, perd-t-il cette tolérance
Et c’est ainsi que notre homme préféra
Mettre à la porte sa femme effrontée
Plutôt que son père, par l’âge avancé, diminué.
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