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Sagot :
C'était en hiver, comme dans mes habitudes, quand je rentre de l'école, je ne veux pas rentrer chez moi, ma mère est assise toute la journée sur un fauteuil car elle est dépressive et mon père, lui travaille jusque très tard dans la nuit. Donc je ne me presse pas, je marche lentement, mais il fait froid... Je suis bientot devant la boulangerie, ca sent délicieusement bon, j'hésite un peu avant de rentrer dedans, je regarde d'abord dans ma poche si il me reste quelque centimes, j'en tire 20 centimes, ce n'est rien mais surement assez pour acheter un petit truc, je passe la porte, une petite clochette se déclanche a mon entrée, mais personne.. Cette boulangerie était l'une des plus grande que je n'ai jamais vu, de plus elle marche très bien financierement, du moins c'est ce que mon père dit, c'est surement l'une des boulangerie des plus réputé de France, je m'approche doucement de la vitrine, j'observe son contenu jusqu'a qu'un homme sorte de la porte qui est en face de moi, il était cagoulé et tenais quelque liasses de billets dans sa main ; il paraissait très étonner de me voir.. Il se stoppa net, et braqua son fusil sur moi, je pensait pourtant que cela ne se déroulait que dans les films, mais c'été bien réel, tout était réel. Jer me suis mise a trembler, a avoir le coeur qui bas, les mains moites, et les yeux mouillé. je ne comprenais pas vraiment ce qui se passait, j'était innocente, je suis seulement une petite fille qui vient acheter un truc a grignoter, qui n'a rien demader mais cet homme m'en voulait quand même, je ne serait dire pourquoi. Je recula a petit pas tandis que lui s'approchais de plus en plus de moi. C'été le moment, il fallait fuir, a toute vitesse, mais comment ? Je repris mon mon sang froid je tourna les talons et couru jusque la porte, il tira une balle ne me toucha pas mais presque. Je déboula par la porte, et je courru le temps que je le pouvait. Le vent fouetter mon visage, il fesait froid, mes pieds était comme deux glacons mais je courrais comme jamais je n'avais couru ! Je voyais ma maison, je n'osa pas me retourné donc je continuer, sans m'arreter; la porte de ma maison était la, tout pret, j'enfouie ma main dans mon sac, prit mes clé, et le souffle court, je pénétra enfin dans ma maison, ma mère me regarda, me souris et me dit :
-Comment s'est passé ta journée ?
-Très bien maman..
Non ; je n'ai pas osé lui dire..
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