Trouvez des réponses à vos questions avec l'aide de la communauté Zoofast.fr. Trouvez des solutions fiables à vos questions rapidement et facilement avec l'aide de nos experts expérimentés.
Sagot :
1) Dire que ce texte est autobiographie me paraît complexe,
d’autant qu'il n'est pas du genre littéraire. L'auteur affirme pourtant que son œuvre est bien autobiographique car c'est un hommage qu'il rend à sa mère morte.
Ce texte peut-être analysé par deux façons :
- Le "je" autobiographique et ses interlocuteurs
- "La consolation de l’écriture", l’enjeu de l’autobiographie dont le sujet n’est précisé qu’indirectement, au détour d’une phrase L 44 "C'était beau n'est-ce-pas pauvre maman...." Nous sommes dans le discours et le temps de l’écriture (passé composé, présent, imparfait). Seules, l’inspiration, l'écriture et sa mère constituent les véritables interlocutrices du narrateur. Le récit autobiographique, réflexif, est plutôt destiné à sa mère partie et à lui-même, qui écrit pour se consoler.
2) La confusion auteur-narrateur-personnage existe bien dans le texte car
le narrateur se dédouble, se voit écrire comme s’il prenait de la distance avec cette écriture autobiographique qui n'en est pas une.
3)
a) Les deux temps du récit employés sont : imparfait "J'avais 5 ans ou 6 ans" et présent "Je me rappelle qu'en quittant l'appartement" avec très peu de passé composé en première phrase "J'ai été un enfant".
b) L'auteur alterne les temps dans le récit car il essaie de revivre ces moments de quand il était petit tellement sa mère lui manque, et tellement il veut l'honorer. Ce doit être sa seule manière à lui de revivre ses émotions et de faire comme si elle était encore là.
4) Au début de son séjour en France, le narrateur se sent perdu, ne comprend pas ce monde autour de lui et se sent seul. Il était très jeune, il avait 5 ans et découvrait la vie en ville avec les voitures, les trams, l'école ou personne ne parle sa langue. Il est très déstabilisé et a peur, c'est pour cela qu'il reste accroché à sa mère.
Ce texte peut-être analysé par deux façons :
- Le "je" autobiographique et ses interlocuteurs
- "La consolation de l’écriture", l’enjeu de l’autobiographie dont le sujet n’est précisé qu’indirectement, au détour d’une phrase L 44 "C'était beau n'est-ce-pas pauvre maman...." Nous sommes dans le discours et le temps de l’écriture (passé composé, présent, imparfait). Seules, l’inspiration, l'écriture et sa mère constituent les véritables interlocutrices du narrateur. Le récit autobiographique, réflexif, est plutôt destiné à sa mère partie et à lui-même, qui écrit pour se consoler.
2) La confusion auteur-narrateur-personnage existe bien dans le texte car
le narrateur se dédouble, se voit écrire comme s’il prenait de la distance avec cette écriture autobiographique qui n'en est pas une.
3)
a) Les deux temps du récit employés sont : imparfait "J'avais 5 ans ou 6 ans" et présent "Je me rappelle qu'en quittant l'appartement" avec très peu de passé composé en première phrase "J'ai été un enfant".
b) L'auteur alterne les temps dans le récit car il essaie de revivre ces moments de quand il était petit tellement sa mère lui manque, et tellement il veut l'honorer. Ce doit être sa seule manière à lui de revivre ses émotions et de faire comme si elle était encore là.
4) Au début de son séjour en France, le narrateur se sent perdu, ne comprend pas ce monde autour de lui et se sent seul. Il était très jeune, il avait 5 ans et découvrait la vie en ville avec les voitures, les trams, l'école ou personne ne parle sa langue. Il est très déstabilisé et a peur, c'est pour cela qu'il reste accroché à sa mère.
Nous valorisons chaque question et réponse que vous fournissez. Continuez à vous engager et à trouver les meilleures solutions. Cette communauté est l'endroit parfait pour grandir ensemble. Chaque réponse que vous cherchez se trouve sur Zoofast.fr. Merci de votre visite et à très bientôt.