Urgent : je dois rendre un devoir de 1ere S en francais sur le texteurgent : je dois rendre un devoir de 1ere S en francais sur le texte de jean rostand les pensées d'un biologiste , mais je suis bloquer et j'ai pas compris la relation entre les questions et le texte pourriez vous m'éclairer svp
voici les questions :
1) déterminez précisément la structure du texte; en quoi sert-elle le propos de jean rostand de manière efficace?
2)Sur quoi porte la réflexion de jean rostand. En quoi ce texte peut-il être rellié à la problématique de la séquence qui est : la grandeur et la faiblesse de l'homme
3) relever les éléments humoristiques
voila le texte sur le -quel je dois travailler:
Fils du dramaturge Edmond Rostand à qui l'on doit la comédie héroïque Cyrano de Bergerac (1897), Jean Rostand a consacré sa vie à la biologie et à fait connaître la génétique au grand public. Humaniste, il a laissé un ensemble de textes dans lesquels il réfléchit sur les reslations de l'homme et du monde qui l'entoure.
Mais, laissant au moraliste le soin de peser les douleurs et les satisfactions individuelles, demandons-nous ce que l'homme, en tant que membre de l'espèce, peut penser de lui-même et de son labeur.
Certes, à se souvenir de ses origines, il a bien sujet de se considérer avec complaisance. Ce petit fils de poisson, cet arrire-neveu de limace, a droit à quelque orgueil de parvenu. Jusqu'où n'ira-t-il pas dan ssa maîtrise des forces matérielles ? Quel secret ne dérobera-t-il pas à la nature ? Demain, il libérera l'énergie intra-atomique, il voyagera dans les espaces interplanétaires, il prolongera la durée de sa propre vie, il combattra la plupart des maux qui l'assaillent, et même ceux que créent ses prpres passions, en instaurant un ordre eilleur dans ses collectivités.
Sa réussite a de quoi lui tourner un peu la tête. Mais, pour se dégriser aussitôt, qu'il situe son royaume dérisoire parmi les astres sans nombre que lui révèlent les télescopes : comment se prendrait-il encore au sérieux, sous quelque aspect qu'il s'envisage, une fois qu'il a jeté le regard dans les gouggres glécés où se hâtent les nébuleuses spirles !
Quel sort, au demeurant, peut-il prédire à son oeuvre, à son effort ? De tout cela, que restera-t-il, un jour, sur le misérable grain de boue où il réside ? L'espèce humaine passera, comme ont passé les dinosaures et les stégocéphales. Peu à peu, le patite étoile qui nous sert de soleil abandonnera sa force éclairante et chauffante... Toute vie alors aur cessé sur la terre qui, astre périmé, continuera de tourner sans fin dans les espaces sans bornes... Alors, de toute la civilisation humaine ou surhumaine - découvertes, philosophies, idéaux, religions- , rien ne subsistera. Il ne restera même pas de nous ce qui reste aujourd'hui de l'homme du Néanderthal, dont quelques débris au moins ont trouvé un asile dan sles musées de son successeur. En ce minuscule coin d'univers sera annulée pour jamais l'aventure falote du protoplasme... Aventure qui déjà , peut-être, s'est achevé sur d'autres mondes ... Aventure qui, en d'autres mondes peut-être, se renouvellera... Et patout soutenue par les mêmes illusions, créatrice des mêmes tourments, partout aussi absurde, aussi vaine, aussi nécessairement promise dès le principe à l'échec final et à la ténèbre infinie..