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Sagot :
En ouvrant les yeux , je fus éblouis par le soleil, la tête écrasée dans le sable, j'avais la bouche qui me brûlait Je m'aperçus vite que j'étais seul et qu'il me fallait survivre. J'espérais des secours rapides et cela me donnaient du courage. J'avais faim, j'avais soif . je regardais au loin et la végétation semblait être diverse et de très hauts cocotiers touchaient le ciel, tandis que des arbustes avec des baies de toutes les couleurs recouvrait l’île en abondance. La mer se balançait doucement et était regorgée de poissons. J'avais donc de la chance, et je mangeais les poissons attrapés à mains nues crus encore frétillants. Je me hissais non sans mal en haut d'un cocotier pour y faire tomber des noix. Ainsi cassées à force de les taper elles s'ouvraient et me donner leur lait à boire. Je dormais à même la plage et je tremblais de peur dés la nuit venue Je n'avais rien pour faire du feu et au bout de quelques jours j'entrepris de chercher plus au fond de l’île des silex pour faire cuire ma pêche.
Le sol était rude pour mes pies nus. Tous les jours je faisais un petit trajet pour visiter cette ile, mais je revenais toujours à mon point de chute. C est ainsi que je pus , en frottant mes pierres, me faire du feu. Le soleil qui brûlait ma peau, les efforts journaliers pour traverser la végétation dense de cette iles me blessait les mains et le visage. Mais j’étais vivant. Je me construisit à force d'imagination une cabane avec des branchages et je finis par trouver ce logis confortable. Le temps passait et je ne savais plus quel jour ni quelle heure il était. J'étais amaigris, je déprimais entre deux instants de plaisir à observer ce paradis perdu. Tous les jours se ressemblaient et étaient rythmés par une seule idée survivre. C'est ainsi que trois de ma vie était passée, puis qu’après une si longue attente c'est un autre bateau qui aperçut le feu que je laissais allumé jour et nuit. On me secourut et c'est là qu' on m'apprit que le temps avait passé , trois ans......
Le sol était rude pour mes pies nus. Tous les jours je faisais un petit trajet pour visiter cette ile, mais je revenais toujours à mon point de chute. C est ainsi que je pus , en frottant mes pierres, me faire du feu. Le soleil qui brûlait ma peau, les efforts journaliers pour traverser la végétation dense de cette iles me blessait les mains et le visage. Mais j’étais vivant. Je me construisit à force d'imagination une cabane avec des branchages et je finis par trouver ce logis confortable. Le temps passait et je ne savais plus quel jour ni quelle heure il était. J'étais amaigris, je déprimais entre deux instants de plaisir à observer ce paradis perdu. Tous les jours se ressemblaient et étaient rythmés par une seule idée survivre. C'est ainsi que trois de ma vie était passée, puis qu’après une si longue attente c'est un autre bateau qui aperçut le feu que je laissais allumé jour et nuit. On me secourut et c'est là qu' on m'apprit que le temps avait passé , trois ans......
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