Dans les vitrines dans le seizième
il s'y trouvaient tout ce que j'aime
des chocolats et des joyaux
j'étais arrivée la par le trocadéro
en passant par la Tour Effeil
comme cette ville est belle.
sur les boulevards illuminés
je regardais les gens pressés
ils choisissaient avec hardeur
ne se souciaient pas de l'heure.
les automates étaient givrés
le froid commençait à piquer
Mais quand c'est Noël à Paris
C'est un peu comme le paradis