Les gouttes de sueurs perlent sur leur visage terroriser.
La boue et la crasse recouvrent leur mine complètement horrifiées, pour se cacher et se faufiler dans ces tranchées, ils sont obligés de marcher sur les corps de leurs camarades morts aux combats.
Ses petits couloirs de terre, humides, miteux, rempli de l odeur de la mort, ne fait qu amplifier leur envie de fuir, oui de fuir loin de toute cette horreur.