Aidez moi à analyser ce poème svp.. C'est pour demain au histoire des arts.. Merci merci merci !!!
Cette lutte incessante efface les villages,
Dépense la vie en ces monstrueux ravages.
Fils ! Extrais cette épidémie de tes entrailles,
L’épuisante capture accuse ses murailles.
Apprenti abreuve de blâmes l’innocence,
Bataille à tes ennemis ce camp de souffrance,
Chasse de l’oraison le dépit du canon,
Dépouille de ton corps défunt la division.
Destin affligé assure cette guerre,
Fusillant la citadelle, essaimant la terre,
Gagne la force extensible, expulse l’ennemi,
Il te faut amputer son empire affermi.
Ton rempart charge ce théâtre de la guerre,
Lève en masse un siège hostile à l’adversaire,
Déroute un héros qui mobilise l’assaut,
Traite en paix, actionne les hauts faits mondiaux.
Pendant un conflit l’homme assujettit son cœur,
Il ne raisonne que la haine et la terreur,
Traque la défense aux plaies envenimées,
Marque l’abîme aux silhouettes inanimées.
Ce petit homme au minois chiffonné, défait,
Brise sur ce monde enjambant son corps blessé,
Ses sanglots plaintifs que déchire le silence,
Singularité de l’enfant vers l’indolence.
L’enfant replie dès lors son dû anéanti,
De ses larmes arment le massacre infini,
Guette un des soldats qui sur lui vient ébranler,
La tombe par la terre de leur sang mêlé.
Ses yeux fixent le repli lié à l’oubli,
Sa bouche muette ancre la vie qui fuit,
Sa main enracine le mal sourd de la guerre,
Son souffle scelle le déclin de la lumière.
Doucement la nuit recueille l’enfant perdu,
Le soldat le refuse à l’enfer tendu,
Désormais ce petit être sera heureux,
Désormais lui ce soldat sera malheureux.
Dépense la vie en ces monstrueux ravages.
Fils ! Extrais cette épidémie de tes entrailles,
L’épuisante capture accuse ses murailles.
Apprenti abreuve de blâmes l’innocence,
Bataille à tes ennemis ce camp de souffrance,
Chasse de l’oraison le dépit du canon,
Dépouille de ton corps défunt la division.
Destin affligé assure cette guerre,
Fusillant la citadelle, essaimant la terre,
Gagne la force extensible, expulse l’ennemi,
Il te faut amputer son empire affermi.
Ton rempart charge ce théâtre de la guerre,
Lève en masse un siège hostile à l’adversaire,
Déroute un héros qui mobilise l’assaut,
Traite en paix, actionne les hauts faits mondiaux.
Pendant un conflit l’homme assujettit son cœur,
Il ne raisonne que la haine et la terreur,
Traque la défense aux plaies envenimées,
Marque l’abîme aux silhouettes inanimées.
Ce petit homme au minois chiffonné, défait,
Brise sur ce monde enjambant son corps blessé,
Ses sanglots plaintifs que déchire le silence,
Singularité de l’enfant vers l’indolence.
L’enfant replie dès lors son dû anéanti,
De ses larmes arment le massacre infini,
Guette un des soldats qui sur lui vient ébranler,
La tombe par la terre de leur sang mêlé.
Ses yeux fixent le repli lié à l’oubli,
Sa bouche muette ancre la vie qui fuit,
Sa main enracine le mal sourd de la guerre,
Son souffle scelle le déclin de la lumière.
Doucement la nuit recueille l’enfant perdu,
Le soldat le refuse à l’enfer tendu,
Désormais ce petit être sera heureux,
Désormais lui ce soldat sera malheureux.