Clemrds
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a. Il faisait noir, noir, mais noir au point que je dis-
tinguais à peine la grande route, et que je faillis, plu-
sieurs fois, culbuter dans le fossé.
Guy de Maupassant, « Qui sait ? »,
dans L'Inutile Beauté (1890).
i. Il me sembla que je voyais la main, l'horrible
main, courir comme un scorpion ou comme une
araignée le long de mes rideaux et de mes murs.
Guy de Maupassant, « La Main -,
dans Contes du jour et de la nuit (1885).
G. Cependant, la rivière s'était peu à peu couverte
d'un brouillard blanc très épais [...]. J'étais comme
enseveli jusqu'à la ceinture dans une nappe de coton
d'une blancheur singulière, et il me venait des ima-
ginations fantastiques.
Guy de Maupassant, « Sur l'eau »,
dans La Maison Tellier (1881).
d. La lune illuminait de sa lueur blanche les maisons
pâles [...]. Ce jour nocturne, avec ses teintes ména-
gées, dissimulait la dégradation des édifices.
Théophile Gautier, Arria Marcella (1852).
a. J'attendis, debout, écoutant toujours le bruit qui
grandissait, qui prenait, par moments, une intensité
violente, qui semblait devenir un grondement d'im-
patience, de colère, d'émeute mystérieuse.
Guy de Maupassant, «Qui sait?»,
dans L'Inutile Beauté (1890).
3.. Identifiez les figures de style présentes dans chaque
extrait (comparaison, métaphore, répétition, gradation,
oxymore).
2. Quelles figures permettent de caractériser une atmos-
phère ? Lesquelles créent la peur et l'angoisse?



Quelqu’un peut il m’aider ?