Le Caire apparaît comme une ville quelque peu délabrée où la vétusté des choses domine << les murs
des immeubles qui se lézardent, des fils électriques qui pendent mollement entre leurs poteaux, les
trottoirs défoncés » (1. 17-18) Partout des chantiers de pierres surgissent entre des flaques de boue >>
(1.20-21), en pleine effervescence, qui bouillonne de vie (« ma grouillante et native cité » (1.15)),
qui résonne de bruits et d'agitation(«< un charivari de bruits, de gestes, de senteurs »> (1.16))
Paris est une ville qui vibre d'une autre manière, vivante aussi, la narratrice est « environnée par les
rumeurs, la trépidation familières » (1.2-3) mais moins bruyante puisque qu'un coup de klaxon y est
« si insolite »> (1.11). Elle est évoquée sous l'angle de sa beauté formelle, de l'harmonie qui se
dégage de ses rues « les images - bâtisses, perspectives, arbres, ponts-dont la beauté ne s'use pas >>
(1.7-8)
Bonjour il faut que j’écrive tout sa au passé simple et à l’imparfait