Dictée fautive : corrigez 20 fautes de conjugaison du présent dans le texte
Je me pétrifit au milieu du chemin. L'air est immobile, pas une feuille ne bougent. Le silence n'est troublé
est
que par les monotones stridences des grillons. Des papillons prenent leur envol et fond un délicieux ta-
bleau. La nature peind dans une harmonie de vert des collines qui dévale doucement jusqu'à la plage. La
joinds
dévalent
mer s'abat sur des rochers qui affleures.Je sent mon cœur se dilater loin des grouillements de la ville. Ma poitrine semble trop petite pour conte-
nir toute la tendresse que la douceur de cet instant réveille en moi. Je bondit sur le chemin en criant
bondicts
comme un fou, les bras tendus, à la rencontre de toutes ces choses impalpables que j'aurais voulu
étreindre contre moi. Soudain un hurlement retentie. J'épis un instant le fouillis des branches au-dessus
de ma tête. J'apercois un oiseau de nuit, perdu là sans doute, réveillé de sa torpeur par la magnificence
perdus
du spectacle qu'il m'est donné de découvrir. Je gravis une dernière côte et tout à coup la mer apparé,
grondant sourdement sous le ciel apaisé, entourée de vapeurs tremblotantes qui restitut à chaque par-
celle de lumière un peu de sa douceur. Et la mer s'écrit : « moi qui est si longtemps aimé le ciel, je crainds
désormais son immensité. Toi, aujourd'hui, tu revient vers moi, tu m'admires et tu me chéries. Tu ne ré-
admire
souds pas ma peine mais tu apaises mes éclats. >>