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grammaticaux proposés.

Le Cerf est/et la Fontaine
l'on
Ce qu'on méprise et/est souvent plus utile que ce que
vante ; cette/cet fable le fait voir.
Un cerf buvait à/a une fontaine : il s'arrête, et voit son
image dans le miroir des eaux. Là, tandis qu'il admire la
beauté de sa haute ramure, et déplore l'exiguïté de ces/ses
jambes, épouvanté tout à coup par les cris des chasseurs,
il fuit à travers les champs, et par sa course rapide met les
chiens en défaut. Alors il se jette à travers la forêt ; mais,
arrêté par ses/ces cornes qui s'embarrassent dans le taillis, il
est déchiré par la dent cruelle des chiens. On dit qu'en expi-
rant il prononça ses/ces mots : << Malheureux que je suis ! je