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Sagot :
Réponse:
oui carOn manque encore de données fiables sur l’efficacité plus ou moins grande de diverses mesures de prévention. Les quelques propositions qui suivent représentent donc plutôt des conseils de bon sens que des stratégies dûment validées. Au sein de la famille, et surtout auprès de jeunes adolescents, les parents devraient s’intéresser activement aux échanges que leurs enfants adolescents entretiennent avec les différents outils multimédias. En discutant avec eux de l’intérêt qu’ils portent à telle ou telle activité, en gardant un dialogue régulier, ils se tiennent au courant de l’évolution de leur enfant. L’utilisation de filtres s’avère sans doute utile durant l’enfance. A l’adolescence, il est probablement important de laisser un certain espace d’intimité et de liberté aux jeunes, sans vouloir à tout prix tout contrôler, et c’est dans le dialogue que s’installe la meilleure des préventions. Certains experts avancent qu’une limite d’une à deux heures d’utilisation de ces nouveaux médias devrait être privilégiée. Dans une période où internet et ses mondes virtuels changent rapidement, de tels types de recommandations précises et figées sont à prendre avec circonspection et un jugement aguerri reste à privilégier.
Explications:
La cyberdépendance représente une thématique largement abordée déjà dans les revues spécialisées.29-31 En effet, un certain nombre d’adolescents, parfois de façon très précoce, sont pris dans des conduites de dépendance importante vis-à-vis d’internet. Il faut reconnaître qu’il est fort malaisé de délimiter une frontière entre un comportement acceptable et normatif d’une part et un comportement problématique, voire franchement addictif d’autre part. Il n’est ici pas seulement question du nombre d’heures passées devant l’ordinateur mais aussi du type d’activités menées et des raisons pour lesquelles les jeunes y ont recours. Une définition stricte de la cyberdépendance reste encore à établir et plusieurs acteurs souhaitent son établissement dans les prochains compendiums diagnostiques. Malgré tout, un indicateur parmi d’autres est l’incapacité que les jeunes auraient à s’extraire de leur activité d’internet même lorsqu’ils ne sont pas directement en présence de l’ordinateur. Ainsi, certains jeunes continuent à réfléchir à leur partie de jeu ou à leurs échanges le soir, la nuit, à l’école, etc. Un autre
Bonjour, je veux bien t'aider. Il ne fait pas deux pages mais tu n'auras plus qu'à le compléter.
L'imiter au adolescent les nouvelles technologie peut être bien. J'ai bien dit peut être bien. Si tu leurs enlève tout (plus d'ordinateur, tablettes, portables...), cela pourrait leur être défavorable. Ils ne pourront plus envoyer des messages à leurs ami(e)s ni jouer à des jeux et ils pourraient devenir agressif, méchant... Dans l'autre sens, si les adolescents gardent toujours les nouvelles technologie et ne s'intéresse plus à rien d'autre, ce ne serait pas bon pour eux. Certains d'entre eux reste trop sur des jeux vidéo (comme Fortnite), souvent ils deviennent agressif, méchant ou font des bêtises. Il faut garder du temps pour faire du sport, jouer avec sa famille, aller dehors... Il ne faut pas garder les nouvelles technologie et ne pas s'en détacher. Certaines nouvelles technologies peuvent être très utile (ex : la montre connecté) car ils peuvent nous encouragée à faire du sport ou d'autres chose comme ça. Conclusion : Il faut garder le juste milieu.
J'espère que je t'ai aidé.
Louise
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