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Bonsoir,
Je vous en supplie pouvez-vous m'aider à faire un compte-rendu en français sur ce texte. Je n'y arrive vraiment pas. Merci d'avance.
Bonne soirée ​

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Sagot :

Ce n’est qu’une ébauche, à retravailler un peu.

Certaines personnes préfèrent avoir un meilleur titre qu’un meilleur salaire. En effet, avec la médiatisation de la personne via les réseaux sociaux, la stratégie ainsi élaborée repose sur la meilleure image possible à donner de soi-même, en vue d’accéder à de meilleurs postes dans le futur. Donc, certaines personnes auraient abandonné environ 7 500 £ d’augmentation de salaire au profit d’un meilleur emploi.

Ce changement de mentalité, et de tactique professionnelle, se fait ressentir dans les sondages : en 2018, 39% des salariés considèrent qu’ils bénéficient d’une augmentation mais pas d’une élévation hiérarchique, qu’ils préfèreraient sans doute. De plus, 72 % des personnes opteraient volontiers pour un titre préférable plutôt qu’un accroissement de leur salaire. Cette tendance grandissante n’est pas faite pour déranger les patrons, qui créent des postes au lieu de debou de l’argent. Une compétition s’engage au sein d’une même entreprise : celle à la meilleure affectation, et la course au meilleur salaire diminue de plus en plus.

Pour une partie de la population, avoir un bon poste signifie avoir une bonne vie. Comme si un livreur de pizza domino déclarait : « Je suis enployé d’une multinationale, chargé de l’acheminement de notre production. » Ce n’est pas faux, et plus valorisant. Mais pas synonyme d’une meilleure qualité de vie.

Mais le problème est que les emplois, créés en sûr-quantité, ne signifient alors plus rien. Quel intérêt d’avoir une meilleure fonction, si la qualité n´est pas au rendez-nous ? Et si l’on a la même rente que l’ouvrier douze échelons plus bas ? Ce qui mène à de nombreuses questions existentielles : « Qui suis-je vraiment ? »